Encore une deuxième place en relais pour les Bleus, derrière les intouchables Norvégiens

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Encore une deuxième place en relais pour les Bleus, derrière les intouchables Norvégiens
Éric Perrot royal aujourd'hui.
Éric Perrot royal aujourd'hui.AFP
Globalement, le relais français a été solide, mais ce n'était pas assez pour rivaliser avec la surpuissante Norvège. Les Bleus prennent toutefois la deuxième place, confirmant leur statut dans cette discipline.

Dernière journée de biathlon à Hochfilzen avec une journée consacrée aux relais. Les hommes étaient les premiers sur le pont, avec l'espoir d'une belle performance, ayant terminé deuxièmes à Oestersund. La composition était donc logiquement la même, avec Éric Perrot, Émilien Jacquelin, Fabien Claude et Quentin Fillon Maillet

Premier à se lancer, Éric Perrot a ébloui le premier relais d'une classe inattendue. Non content de tenir la dragée haute à Sturla Laegreid sur les skis, il s'est fendu d'un 10/10 impérial derrière la carabine. Pas une pioche, et une première place logique au passage de relais. Du travail de pro. 

Émilien Jacquelin devait poursuivre, et cela commençait bien sur le couché, avec une seule pioche, la tête conservée, et surtout, un écart croissant sur la quatrième place. Debout, l'ancien double champion du monde n'utilisera également qu'une balle supplémentaire. Il cède en fin de parcours contre Tarjei Boe, mais il passe le témoin en 2e position, presque à hauteur de la Norvège. L'objectif podium prenait un bon chemin.

Pour la victoire, cela paraissait compliqué, car Fabien Claude avait pour concurrent direct un certain Johannes Boe. Mais le Norvégien va cafouiller son premier tir, au contraire du Tricolore, et le mano à mano continuait. Pour un temps, puisque le tenant du gros globe était trop fort à skis, et le Français passait proche de la pénalité sur le debout, mais finalement, avec une minute de retard sur la Norvège, la victoire était interdite, et conserver la deuxième place face au retour allemand était l'objectif. 

C'est donc Quentin Fillon Maillet qui devait finir le travail. Une mission largement facilitée par le cafouillage de Benedikt Doll au couché. Serein, QFM va tranquillement assurer la place de 2, sans espoir de remontée sur Vetle Christiansen, intouchable comme ses compatriotes. Comme au premier relais, c'est la deuxième marche du podium pour les Bleus, qui sont la deuxième force du relais masculin, indéniablement. 

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