L'ASVEL gâche une belle opportunité et craque en fin de match à Bologne

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L'ASVEL gâche une belle opportunité et craque en fin de match à Bologne
L'ASVEL a tout gâché.
L'ASVEL a tout gâché. Profimedia
Largement en tête en fin de troisième quart, l'ASVEL a totalement disparu en fin de match et chuté à Bologne, alors qu'une victoire de prestige était largement possible. Un match à l'image de la saison des Lyonnais.

L'ASVEL était repartie en eaux troubles après une petite éclaircie. Le licenciement de Gianmarco Pozzecco avait laissé la place à Pierric Poupet, mais après un défaite honteuse à la maison contre Alba Berlin, il fallait trouver un moyen de rebondir. Et cela ne risquait pas d'arriver ce soir sur le parquet de la Virtus Bologne, surprenante deuxième du classement. 

Et en début de match, on comprend pourquoi. La formation italienne joue à son tempo, manque encore de rythme en attaque, mais défensivement, elle étouffe une équipe lyonnaise en recherche de certitudes. Sans nécessairement développer son meilleur basket, la Virtus fait rapidement un écart de dix points qui est quasiment présent en fin de premier quart (19-10), bien aidée par les six pertes de balles visiteuses. 

Car la Virtus n'a pas l'air dans un bon soir, son jeu semblant se déliter petit à petit. L'ASVEL en profite pour réduire l'écart, dans la foulée d'un Paris Lee qui est un des rares à réussir sa saison. Sur un panier de Youssoupha Fall, les visiteurs égalisent et passent même devant alors que les locaux restent muets pendant 5 minutes, encaissant un 22-8 qui place de façon surprenante l'ASVEL devant à la pause (27-32).

Et les visiteurs continuent sur leur lancée au retour des vestiaires, conservant leur avance. L'écart passe même au-delà des dix points alors que la Virtus est totalement absente des débats. Mais il suffit de quelques attaques mal exécutées pour relancer Bologne, qui réveille ses supporters. Pour peu de temps cependant, puisque l'ASVEL remet les gaz et a même accentué son avance en fin de troisième quart (45-54). L'exploit semble alors possible. 

D'autant que la défense fonctionne en début de dernier quart, mais malheureusement, cela ne dure pas. Un coup d'accélérateur et Bologne revient à trois points. C'est alors un festival d'occasions manquées, et à moins de 5 minutes du terme, la Virtus repasse devant. L'ASVEL a tout gâché, l'inusable Marco Belinelli met le couvercle à trois points, et malgré un Paris Lee en feu (14 points, 12 passes, 4 interceptions), s'incline 71-63. Un bon résumé de la saison lyonnaise. 

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