Rechute brutale de l'ASVEL, inexistante sur son parquet contre Alba Berlin

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Rechute brutale de l'ASVEL, inexistante sur son parquet contre Alba Berlin
L'ASVEL retombe dans ses travers.
L'ASVEL retombe dans ses travers.AFP
Inexplicablement, l'ASVEL, qui restait pourtant sur une belle lancée, a sombré en fin de match contre l'Alba Berlin, et continue sa saison galère en Euroligue.

Malgré le départ de Gianmarco Pozzecco, l'ASVEL de Pierric Poupet a enchaîné une deuxième victoire consécutive en Euroligue contre l'Étoile Rouge mardi, et avait une occasion en d'or d'en rajouter une troisième ce soir. À l'Astroballe, le club lyonnais recevait la lanterne rouge, Alba Berlin, pour relancer pour de bon sa saison. 

De quoi entraîner un semblant d'excès de confiance ? Le début de match semble l'indiquer, les Allemands prenant rapidement les commandes. Menée de 7 points, la maison ASVEL se met enfin en route de par un jeu collectif qui voit six joueurs marquer dès le premier quart, que les locaux terminent finalement devant sur un dernier panier signé Edwin Jackson (20-19). 

Les deux équipes se tiennent, se rendant coup pour coup, jusqu'à un coup d'accélérateur allemand initié par Sterling Brown et Gabriele ProcidaC'est Paris Lee qui tient la baraque pour l'ASVEL, mais le meneur est un peu seul. Néanmoins, on comprend pourquoi ces deux équipes sont en fond de cale de l'Euroligue, la sélection de tirs est douteuse et la défense manque d'agressivité. Les locaux rentrent menés aux vestiaires (37-41) sans toutefois que la décision ne soit faite. 

Lentement mais sûrement, Berlin tente de faire grossir l'écart, qui finit par franchir les dix points sous l'impulsion du shooter Matt Thomas, alors que l'ASVEL perd son latin et ne trouve plus de solutions en attaque. La situation est de plus en plus compliquée, Thimothé Luwawu-Cabarrot tente bien de secouer le cocotier, mais à dix minutes du terme, le match est fermement dans les mains allemandes (50-62).

On retrouve l'ASVEL que l'on voit depuis un an, peu importe l'entraîneur aux manettes. La réussite à trois points est apocalyptique, l'attaque n'a aucune variété, et Justin Bean se charge de mettre les clous sur le cercueil avec 8 points d'affilée. Les locaux démissionnent alors totalement de la rencontre, qui se transforme en calvaire et en déroute 63-88. L'effet nouvel entraîneur est déjà terminé, et la fin de saison s'annonce longue en Euroligue. 

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