Les notes de l'Argentine
Thomas Gallo 5, Julián Montoya 6, Francisco Gómez Kodela 4; Guido Petti 6, Pedro Rubiolo 5; Juan Martín González 6, Marcos Kremer 6, Facundo Isa 6; Tomás Cubelli 7, Santiago Carreras 6; Mateo Carreras 6, Jerónimo De la Fuente 5, Lucio Cinti 5, Emiliano Boffelli 6; Juan Cruz Mallía 6
Les notes de l'Angleterre
Marcus Smith 6 ; Freddie Steward 5, Joe Marchant 5, Manu Tuilagi 7, Henry Arundell 4 ; Owen Farrell 7, Ben Youngs 6; Ben Earl 7, Sam Underhill 7, Tom Curry 7 ; Ollie Chessum 5, Maro Itoje 7 ; Will Stuart 5, Theo Dan 6, Ellis Genge 6
Le MVP : Maro Itoje
Toujours le roi des rucks, toujours le roi des airs. Une domination sans partage sur touche, et une activité incessante. 14 plaquages, une présence constante pour tenter de gratter le ballon dans les rucks, parfois avec réussite. Un leader de combat, un leader par l'exemple, peut-être le meilleur Anglais de la compétition.
Le patron : Owen Farrell
Quand il faut artiller, Owen Farrell est là. Là où Sanchez a loupé la pénalité de l'égalisation alors qu'elle semblait dans ses cordes, Farrell a gardé une régularité de métronome durant toute la compétition. 16 points inscrits capitaux, aucun échec, sans compter une défense de fer, comme souvent, il est là dans les grands rendez-vous.
La bonne surprise : Sam Underhill
Pas moins de 24 plaquages, un chiffre monstrueux à ce niveau de compétition. L'activité de la troisième ligne anglaise a été déterminante, mais son flanker a été incroyable en défense, passant le match à ferrailler. Il faut toujours des joueurs de cet acabit dans une équipe qui gagne.
La déception : la mêlée argentine
Plusieurs fautes à l'introduction pour les Argentins dans un domaine qui est pourtant censé être une force. Rageant quand on voit le score final et le nombre de points inscrits sur pénalité (12). À ce niveau là, cela ne pardonne pas, et les piliers n'ont pas été à la hauteur. Un des paramètres qui coûte le match.
