Triplé d'Aubameyang et scenario fou : l'OM bat l'Ajax et garde la tête de son groupe

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Triplé d'Aubameyang et scenario fou : l'OM bat l'Ajax et garde la tête de son groupe
Aubameyang a marqué un triplé
Aubameyang a marqué un tripléProfimedia
C'est un match dont raffole le Vélodrome : poussé dans ses retranchements par l'Ajax qui est revenu trois fois au score, même quand il s'est retrouvé à 10, l'OM a profité d'une erreur du gardien adverse pour l'emporter sur un penalty miraculeux dans les arrêts de jeu (4-3). Pierre-Emerick Aubameyang a inscrit un triplé, avec un ciseau retourné exceptionnel.

Comme un éclair dans la nuit, Pierre-Emerick Aubameyang a signé un but spectaculaire dont il a le secret. Servi par Amine Harit, le Gabonnais a claqué un ciseau exceptionnel arrivé à point nommé car, en ce début de deuxième période (47e), l'Olympique de Marseille était dos au mur. Tenus en échec par l'Ajax à la pause, les Phocéens devaient absolument gagner pour repasser devant Brighton, vainqueur en début de soirée sur la pelouse de l'AEK (1-0).

Brobbey, finition létale

Après 45 minutes, le comparatif entre John van t'Schip et Gennaro Gattuso faisait mal. Le Néerlandais, qui était sur le banc de l'Ajax pour la 6e fois seulement, réussissait là où le Calabrais n'avait pas encore mis les pieds trois mois après son arrivée.

Certes, à la pause, le score était de parité (2-2). Mais le contenu des buts était radicalement différent. D'un côté, l'OM avait marqué sur un penalty provoqué par Ismaïla Sarr et converti par Aubameyang (9e) puis sur une tête rageuse de Chancel Mbemba à la réception d'un corner parfait de Jonathan Clauss (26e). De l'autre, les Ajacides, quelques secondes après les réalisations marseillaises, avaient égalisé sur des actions construites réfléchies. À la finition, Brian Brobbey ridiculisait l'arrière-garde à deux reprises pour signer un doublé (10e, 30e). 

Les travées du Vélodrome oscillaient entre les encouragements et les sifflets. L'Ajax est une équipe naïve, ce qui est logique vu la faible moyenne d'âge, mais ses projections offensives était d'une grande qualité. 

Ramaj joue au Père Noël

Le bijou d'Aubameyang puis l'expulsion directe de Steven Berghuis à la 63e pour un tacle assassin sur Joaquín Correa plaçait l'OM en position idéale. 

Mais même à 11 contre 10, l'OM a cédé. Les Ajacides commençaient à rouler sérieusement sur la jante mais ils ont à nouveau égalisé. Sur un centre de Kristian Hlynsson au second poteau, Chuba Akpom qui venait tout juste d'entrer a devancé Sarr pour catapulter une tête plongeante (80e). L'atmosphère changeait de nouveau. Anton Gaaei, en première intention, a centré en première intention devant la cage olympienne et il s'en est fallu de très peu pour que Brobbey ou Akpom ne coupent (86e). 

L'OM était au bord de la catastrophe mais Diant Ramaj a commis une faute de main incompréhensible sur un centre raté d'Aubameyang qui filait en sortie de but. Après avoir relâché le ballon, le gardien allemand a commis une faute sur Sarr qui avait suivi. "PEA" a de nouveau pris le contre-pied et, cette fois-ci, il a célébré avec le salto en prime (90e+2). 

L'OM sera au minimum barragiste et jouera la première place à Brighton contre des Seagulls qui devront l'emporter. 

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