Les pilotes de F1 ne voient pas la nécessité de modifier le réglement des pneus en qualifications

Publicité
Publicité
Publicité
Publicité
Publicité
Les pilotes de F1 ne voient pas la nécessité de modifier le réglement des pneus en qualifications
Max Verstappen ce samedi lors des qualifications.
Max Verstappen ce samedi lors des qualifications.AFP
La Formule 1 expérimentera les nouvelles qualifications lors de deux courses cette saison, la première étant probablement Imola en mai, mais le double champion du monde Max Verstappen et d'autres pilotes ne voient pas la nécessité d'un changement.

Le plan est de restreindre le choix des pneus pour la session du samedi, donc la première phase de qualification sera uniquement composée de pneus durs, la seconde de pneus médiums et la séance finale du top 10 se fera avec les pneus softs les plus rapides. Les pilotes ont actuellement le libre choix de leur pneu pendant les qualifications.

Cette mesure réduirait l'allocation de chaque pilote à 11 jeux de pneus au lieu de 13 pour le week-end, réduisant ainsi le nombre de pneus fabriqués et transportés par Pirelli.

L'expérience a été confirmée par la FIA, mais les courses n'ont pas encore été confirmées par Pirelli, bien que les équipes aient désigné le circuit italien d'Imola comme point de départ de la saison européenne. "J'espère qu'il ne fera pas froid à Imola, sinon ça va être assez délicat", a déclaré Verstappen, le poleman de Red Bull, aux journalistes lors du Grand Prix de Bahreïn qui ouvre la saison.

"C'est la même chose pour tout le monde, mais je ne pense pas que nous ayons besoin de faire réellement ce genre de choses en qualifications. Je n'en vois pas vraiment l'intérêt. C'est mieux si nous nous assurons que toutes les voitures sont proches les unes des autres et plus compétitives au lieu de pimenter les choses de cette façon, qui je pense est probablement pour le spectacle."

Son coéquipier Sergio Pérez, deuxième des qualifications samedi, était d'accord avec le pilote néerlandais. "Nous n'avons pas vraiment besoin de changer quoi que ce soit", a-t-il déclaré. "Nous verrons une fois que nous l'aurons essayé mais je ne pense pas qu'il soit nécessaire de changer quelque chose qui fonctionne bien."

Charles Leclerc, troisième sur la grille, a également estimé qu'il n'était pas nécessaire de procéder à des ajustements.

France gouvernement

Les jeux d’argent et de hasard peuvent être dangereux : pertes d’argent, conflits familiaux, addiction…

Retrouvez nos conseils sur joueurs-info-service.fr (09-74-75-13-13, appel non surtaxé)