Monaco fait une belle perf' chez la Virtus et passe à 5 victoires d'affilée en Euroligue

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Monaco fait une belle perf' chez la Virtus et passe à 5 victoires d'affilée en Euroligue
Un grand Jordan Loyd, un succès référence pour Monaco.
Un grand Jordan Loyd, un succès référence pour Monaco. Profimedia
Dans un choc d'ambitieux, Monaco a sorti un excellent match pour aller terrasser la Virtus Bologne sur son parquet. Une victoire importante avant la trêve européenne, qui replace la Roca dans le Top 4.

Monaco était sur une bonne passe. Quatre victoires d'affilée en Euroligue, un jeu parfaitement en place, un Mike James étincelant, il fallait faire fructifier ce bon passage, mais cela s'annonçait compliqué. Avant une coupure européenne, le déplacement chez la Virtus Bologne, équipe surprise de la saison qui avait humilié la Roca Team sur son parquet en octobre, paraissait très difficile à appréhender. 

Néanmoins, les Monégasques entament la rencontre tambour battant, notamment Jordan Loyd, qui inscrit les 5 premiers points du match. Mais rapidement, les débats s'équilibrent, la Virtus profitant de l'ambiance de feu mise par ses supporters. Malgré tout, la Roca met ses paniers avec assez d'aisance, exécutant parfaitement ses systèmes, et reste en tête.

La défense fonctionne bien, et en fin de premier quart temps, Monaco mène le plus logiquement du monde (16-21). Mieux, la Roca débute le deuxième par un 5-0 pour prendre dix points d'avance. Le temps mort tombe logiquement pour la Virtus, qui ne se relance cependant pas totalement, Jordan Loyd restant en feu dans cette première période. 

C'est Jordan Mickey qui tente de relancer les locaux avec un bon passage, mais cela semble peine perdue. Les Monégasques sont impériaux, en place défensivement, et l'écart grimpe jusqu'à 16 points. C'est le vétéran Marco Belinelli qui rallume le chauffage pour la Virtus avec huit points consécutifs, ce qui limite les dégâts, mais à la pause, Monaco a tout de même un confortable matelas de 10 points d'avance (35-45).

Un avantage balayé dès le retour des vestiaires, la Virtus revenant tambour battant avec un 6-0 qui relance le match. Monaco n'est pas revenu sur le parquet, multipliant les pertes de balle et les mauvais choix, alors qu'en face, Belinelli rayonne malgré ses 37 printemps. La Roca tente alors de se resserrer pour ne pas laisser passer les locaux devant.

Mission accomplie en fin de troisième quart, notamment grâce à l'entrée de Mouhammadou Jaiteh, immédiatement impactant (54-60). Jordan Loyd reprend les choses en main pour résister à la tornade italienne, menée par un Iffe Lundberg en réussite. Et à six minutes du terme, la Virtus revient enfin à hauteur, avant un trois points d'Achille Polonara qui met les locaux devant. 

Le moment pour Mike James de prendre les choses en main, et d'agresser la raquette adverse en pénétration. Puis derrière l'arc pour remettre les siens devant à deux minutes de la fin. Le match est crispant, les tirs ne rentrent plus, et c'est en défense que Monaco va finir par faire la décision, comme souvent grâce à l'activité inlassable de John Brown III. Au finish, Monaco termine le travail sur la ligne des lancers, et inflige à la Virtus sa deuxième défaite à domicile seulement de la saison en Euroligue, 78-81, enchaîne une cinquième victoire d'affilée dans cette compétition, et peut aborder la trêve l'esprit tranquille, dans le Top 4. 

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