Avec le retour en France de Nando de Colo, l'ASVEL veut s'affirmer en Euroligue

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Avec le retour en France de Nando de Colo, l'ASVEL veut s'affirmer en Euroligue
Avec le retour en France de Nando de Colo, l'ASVEL veut s'affirmer en Euroligue
Avec le retour en France de Nando de Colo, l'ASVEL veut s'affirmer en EuroligueProfimedia
Triple champion de France en titre, l'ASVEL débute ce jeudi soir (20h) son périple en Euroligue à domicile, contre l'Olimpia Milan. Une première confrontation d'envergure contre l'un des outsiders de la compétition.

Après 13 ans loin des parquets français, après avoir dispensé son sens du jeu en Europe (Valencia, CSKA Moscou et Fenerbahçe) et s'être essayé aux spécificités de la NBA (San Antonio, Toronto), revoilà Nando de Colo. Sitôt le troisième titre consécutif de champion de France validé, Tony Parker a annoncé la grande nouvelle : le meneur de 35 ans portera le maillot de l'ASVEL lors des deux prochaines saisons. Une convergence d'ambitions qui doit guider le club de Lyon-Villeurbanne vers les quarts de finale d'Euroligue. 

Au défi d'un outsider

Après deux journées de rodage en BetClic Elite qui se sont achevées par deux défaites contre Cholet (91-89) puis contre le surprenant promu Blois (85-82), l'ASVEL s'est rassurée samedi dernier en assommant Bourg-en-Bresse à l'Astroballe (102-84). Une victoire qui a de l'importance pour ne pas cogiter à l'heure où les choses très sérieuses commencent ce jeudi soir pour les hommes de TJ Parker.

Pour cette 1re journée d'Euroligue, l'adversité est soignée avec l'Olimpia Milan dirigée depuis 2019 par la légende Ettore Messina, 4 fois vainqueur de la plus grande compétition européenne avec la Virtus Bologne (1998 et 2001) et le CSKA Moscou (2006-2009). Le club propriété de Giorgio Armani a réalisé le doublé coupe-championnat sur la scène domestique et reste sur un quart de finale européen, éliminé après avoir accroché l'Efes Istanbul, futur double tenant du titre (3-1). Luigi Datome et Nicoló Melli sont les deux références transalpines de cette équipe qui, patiemment, s'est bâti un collectif en mesure de lutter pour le titre suprême. 

De Colo, catalyseur des ambitions de l'ASVEL

La saison dernière, en comptant l'exclusion des 3 clubs russes en raison du conflit armé avec l'Ukraine, l'ASVEL a terminé à la 14e et avant-dernière de la saison régulière avec un bilan de 8 victoires pour 20 défaites. Un résultat en désaccord avec les objectifs du club rhôdanien, d'autant que l'AS Monaco a failli renverser l'Olympiakos en quart de finale (défaite lors du Game 5 à Athènes) et accéder au Final 4. 

La venue de De Colo, en fin de contrat à Fenerbahçe, traduit cette envie, voire ce besoin, d'exister sur la scène continentale. Revigoré par son premier été off depuis 2008, le Nordiste, double vainqueur de l'Euroligue avec le CSKA Moscou (2016 avec en prime les titres de MVP de la compétition et des finales ainsi qu'en 2019), doit insuffler une dynamique pour que l'ASVEL intègre le Top 8, si possible dès cette saison.

Il s'est déjà affirmé comme un leader de cette équipe avec une moyenne de 12,3 points, 2,7 rebonds et 2,3 passes décisives en 22,3 minutes de moyenne en championnat, seulement dépassé par Youssoupha Fall (13,7 points et 2,7 rebonds en 16,3 minutes de moyenne). Des chiffres qui témoignent de sa motivation pour un projet que la fratrie Parker veut porter sur le toit de l'Europe. 

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