Luis Enrique : "Zaïre-Emery est un exemple pour tous les joueurs qui veulent être professionnels"

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Luis Enrique : "Zaïre-Emery est un exemple pour tous les joueurs qui veulent être professionnels"

Luis Enrique sur le banc du PSG.
Luis Enrique sur le banc du PSG.AFP
Ce jeudi, l'entraîneur du Paris Saint-Germain a répondu aux questions des journalistes avant le match contre Montpellier, ce vendredi.

Milan Škriniar : "Il faut regarder les faits, les minutes où il a joué. C'est un grand joueur que j'aime beaucoup, qui apporte tout ce dont j'ai besoin en tant que défenseur central, il arrive à faire avancer le jeu, c'est important pour nous. Il relance aussi les phases de jeu, gagne les duels, est intelligent tactiquement, pour moi, c'est un leader et un bon apport au club. Il a, comme les autres, toujours besoin de s'améliorer aussi."

Duels aériens : "Nous en avons pas mal. Parfois, on doit le faire parce que l'équipe adverse nous force. On essaie de ne pas jouer des balles trop longues. Ce n'est pas notre jeu offensif favori."

Coup francs : "Ce n'est pas quelque chose que je travaille. Ce sont les joueurs qui veulent être tireurs qui s'entraînent. Ca dépend de l'état d'esprit de ces derniers. Parfois, à la fin des entraînements, on en voit par exemple comme Achraf Halimi qui le font. Mais c'est une question individuelle."

Est-ce que le PSG commence à représenter ce qu'il s'imagine pour la saison ? : "On est dans un processus de croissance. L'équipe fait beaucoup de bonnes choses. Nous sommes encore dans une phase initiale. Il faut se souvenir de ce qu'on doit faire, récupérer certaines choses, voir quels sont les joueurs qui s'entendent le mieux. Mais, j'ai un très bon effectif, alors c'est très positif et je suis très satisfait de l'équipe."

Qu'est-ce qui serait une saison parfaite pour Mbappé ? : "Pour gagner des Ballons d'Or, en plus de ton apport individuel - ce qu'il a - il faut avoir des trophées. Ici, on essaie d'en remporter un maximum. Mais, Kylian, quand il a aussi du succès en sélection... Je suis certain qu'il va en avoir beaucoup."

Marco Asensio : "Au niveau médical il a récupéré, et maintenant, il doit retrouver sa forme maximale. Je suis très content de l'avoir. Il est versatile, et je veux 11 défenseurs et 11 attaquants, donc c'est un avantage. Ca me permet de changer au sein d'un même match, la manière de jouer. Il est un élément très positif pour l'équipe."

Pourcentage de l'évolution de l'équipe : "On est en évolution constante. Ce que j'aime, et ce qu'on prétend faire, c'est avoir un PSG imprévisible pour les autres, prévisibles pour nous. Le processus prend du temps à assimiler. Il est complexe. Dans ce développement, il peut y avoir 5 joueurs en attaque, parfois un 433, un 4231... On travaille ce dont on a besoin pour remplir nos objectifs."

Comment faire la distinction entre la nécessité des points et la philosophie de jeu ? : "Je n'ai aucun doute que si on joue bien au football et qu'on a plus de possession, on aura plus de chance de gagner. Donc le processus est long, l'important c'est de gagner. Mais, ce n'est pas difficile. Mieux tu joues, plus tu gagnes."

Warren Zaïre-Emery en équipe de France ? : "Si j'étais sélectionneur espagnol et qu'il était Espagnol, je l'appellerais. Tout le monde voit ce qu'il se passe. Je l'ai vu jouer l'année dernière, jouer dans le couloir, partout, bien cette année. Il est spectaculaire et je ne peux que le remercier pour ce qu'il fait. C'est un exemple pour tous les joueurs qui veulent être professionnels. Il fait un super travail à l'entraînement, il a une préparation impeccable. C'est pas normal pour un jeune de 17 ans d'avoir un planning comme lui et c'est génial."

Le PSG et les cartons contre Montpellier : "On a un département d'analyse qui nous informe. On m'a expliqué que les fautes et les accrochages arrivent. La qualité des résultats dans les saisons passées aussi. Bien évidemment, il faut contrôler ses émotions et être centré sur le match."

Temporalité de son processus de développement : "On a toujours une perception globale. On ne fait pas la même chose que je faisais dans mes autres équipes. On s'appuie sur le potentiel qu'on a maintenant. Je suis très optimiste pour l'attitude et la perception globale que j'ai des joueurs. Leur manière d'analyser la compétition, les matchs, je suis satisfait. Mais, le processus est très long."

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