Argentine
Martínez (7) - Molina (6), Romero (4), Otamendi (6), Acuña (6) - De Paul (6), Enzo Fernández (7), Mac Allister (6) - Papu Gómez (5), Messi (8), Julián Álvarez (7).
Australie
Ryan (4)- Degenek (4), Rowles (4), Souttar (5), Aziz Behich (5)- Mooy (5), Irvine (5), McGree (5) - Baccus (6), Duke (5), Leckie (5).
MVP : Messi
Pour son 1000ᵉ match, le joueur du Paris Saint-Germain a marqué son premier but en phase à élimination directe en Coupe du monde. Un but qui a permis à l'Albiceleste de prendre l'avantage au meilleur des moments, un peu avant la mi-temps (35ᵉ). Une spéciale Pulga : contrôle, fixation, repiquage pied gauche, plat du pied à ras de terre. Leo Messi n'a pas réalisé la plus grande performance de sa carrière, mais c'est lui qui guide cette équipe ayant pour objectif de soulever le troisième Mondial de son histoire.
Le patron : Emiliano Martinez
Le gardien d'Aston Villa a sorti l'arrêt du match quand il le fallait : à la 90 + 6ᵉ minute. Garang Kuol s'est retrouvé seul dans la surface, dos au but, et aurait pu égaliser en toute fin de rencontre, mais c'était sans compter la présence d'Emiliano Martinez. Une balle de qualification pour les quarts de finale, remportée par le deuxième héros argentin de la soirée.
La bonne surprise : Julián Alvarez
Julián Alvarez a permis à l'Argentine de faire le break à la 57ᵉ minute, profitant d'une grossière erreur de Ryan. Depuis qu'il a intégré le onze-type contre le Mexique, l'équipe est beaucoup plus mobile offensivement et il s'associe bien mieux avec Messi que Lautaro Martinez. L'attaquant de Manchester City a inscrit son 4ᵉ but sur les 6 derniers matches avec l'Albiceleste.
La déception : Papu Gomez
Avec trop peu de ballon touché (38) par le milieu de terrain de Séville, celui-ci n'a pas autant apporté au jeu de l'Albiceleste comme peut le faire Di Maria, qu'il remplaçait ce soir. Il sort à la 50ᵉ minute à la place de Lisandro Martinez sans avoir influencé le jeu de son équipe.
