Après trois jours d'audience début février, la juridiction sportive a estimé que le contrôle positif de l'ex-N°1 mondiale venait d'un "supplément contaminé", et que les anomalies de son passeport biologique pouvaient être liées à une "opération chirurgicale", selon un communiqué.
Ainsi, Simona Halep peut de nouveau rejouer au tennis.