Conserver la même direction pour le PSG, le LOSC motivé à l'idée de créer l'exploit

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Conserver la même direction pour le PSG, le LOSC motivé à l'idée de créer l'exploit

Le face-à-face de dimanche : Luis Enrique contre Paulo Fonseca.
Le face-à-face de dimanche : Luis Enrique contre Paulo Fonseca. AFP
Dans une rencontre comptant pour la 16ᵉ journée de Ligue 1, Lille (4ᵉ) accueille le leader, le PSG, dimanche (20h45) au stade Pierre-Mauroy. Un match qui verra deux adeptes de la possession, Paulo Fonseca et Luis Enrique, joués l'un contre l'autre.

Point d’orgue de ce week-end de Ligue 1, ce LOSC-PSG est le choc de cette 16ᵉ journée de championnat. Les Nordistes, 4ᵉˢ, ont l'opportunité en cas de victoire de recoller sur l'AS Monaco (3ᵉ) qui a étonnamment perdu contre l'Olympique lyonnais vendredi (0-1). Depuis la défaite contre Reims (1-2) en septembre, Lille n'a pas perdu un seul match dans l'Élite (cinq victoires et quatre nuls). En face, Paris est sur une dynamique très positive également avec huit victoires de rang. 

Après son match nul concédé à Dortmund (1-1), le PSG peut-il faire un premier faux pas depuis le 30 septembre dernier contre Clermont. Une chose est sûre, même si le LOSC propose des choses intéressantes depuis plusieurs matches, les Parisiens arrivent en grands favoris au stade Pierre-Mauroy

Pour le LOSC, et si ? 

"On n’a pu travailler qu’une seule journée, c'était aujourd’hui. Les joueurs sont bien, ils sont motivés, a confié Paulo Fonseca samedi en conférence de presse. Pour ce genre de matchs, c’est plus facile, tous les joueurs sont motivés et veulent débuter. Mon travail est facilité contrairement à Clermont ou Klaksvik. C’est sur ce genre de matchs où c’est plus difficile de motiver les joueurs. Aujourd’hui, ça ne l’est pas, ce n’est même pas une préoccupation."

Face à Paris, les idées sont donc claires pour les joueurs du LOSC, mais aussi pour l'entraîneur portugais, qui assuré être certain de ses choix concernant sa composition. "Je n'ai aucun doute", assume-t-il, alors que Lille peut atteindre le podium en cas de victoire. Après avoir terminé premier de son groupe en Europa Conférence League jeudi, les Lillois aimeraient retrouver le chemin des trois points après le match nul concédé à Clermont la semaine passée. 

Touché lors de la rencontre contre Klaksvik, Jonathan David est finalement apte pour le LOSC, qui compte sur un groupe quasi-complet pour la réception du club de la capitale : "Jonathan (David) et Ivan (Cavaleiro) sont prêts à jouer. Aujourd’hui, on avait tous les joueurs à l’entraînement, sauf Tiago Djalo. Après les deux prochains matches, je pense qu’il pourra jouer. C’est l’unique joueur qui n’est pas prêt. Jonathan (David) peut démarrer, il a fait les deux derniers entraînements. Des risques à le faire démarrer ? Non, il n’y en a pas."

Maintenir le cap pour Paris 

L'objectif des Nordistes sera de garder leur identité de jeu, même si, forcément, contre le PSG, il n'y aura peut-être pas autant de phases de possession : "Monsieur Fonseca est un entraîneur de haut niveau. J'aime beaucoup ce que fait Lille avec et sans ballon. Ils ont des situations de jeu où il ne sera pas facile de leur prendre le ballon, ils ont beaucoup de possession de balle. C'est une des meilleures équipes du Championnat", a lâché Luis Enrique samedi. 

Le PSG, lui, s'attend à un match compliqué malgré son statut de favori, alors que celui-ci arrive tout de même dans un moment opportun après la qualification les 1/8ᵉ de la Ligue des champions. "Cela nous a fait grandir, a-t-il expliqué. Nous n'avons pas joué une phase de groupes normale, nos six premiers matches étaient presque des matches à élimination directe. En termes de croissance, c'est le meilleur groupe qu'on ait pu avoir. On doit maintenant s'améliorer, mais je suis content de ce que je vois."

En marge de cet évènement, la colère de Kylian Mbappé à la fin du match, voyant que son équipe n'allait pas chercher la victoire. Un fait que Luis Enrique "comprend", mais assume toutes responsabilités prises se désignant comme celui qui a le seul pouvoir de décision : "je comprends sa réaction, mais c'est moi qui donne les ordres. Et c'est une des meilleures décisions de ma carrière. Avec Milan qui mène, on ne peut pas prendre de but. On a continué à aller dans la surface. Je comprends les joueurs qui étaient guidés par leurs émotions. Pendant qu'il y avait nul à Newcastle, il n'y a pas eu d'ordre de calmer. Mais à partir du moment où le score avait changé (2-1 pour Milan), cela aurait été ridicule de prendre un but à ce moment-là. Ridicule."

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