Ancelotti : "On est très proche de gagner la Liga, mais on affronte un grand adversaire demain"

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Ancelotti : "On est très proche de gagner la Liga, mais on affronte un grand adversaire demain"
Ancelotti, lors de la conférence de presse pré-Casico.
Ancelotti, lors de la conférence de presse pré-Casico.AFP
Carlo Ancelotti (64 ans) s'est présenté devant les médias pour analyser le match de Barcelone et aussi pour rappeler certaines questions restées en suspens depuis le match contre Manchester City.

État physique de l'équipe : "Nous récupérons bien. Certains d'entre nous ont besoin d'un jour de plus, comme Mendy."

Les critiques sur leur rencontre à City : "Je ne suis pas surpris, tout le monde est libre d'exprimer son opinion. Il faut bien gérer quand on a le ballon et quand on ne l'a pas. Nous l'avons très bien fait. Je n'ai pas trouvé de madridistas qui soient tristes."

Nacho : "Son avenir dépend de lui. Il a fait un match spectaculaire, pour le défenseur de haut niveau qu'il est.

Avec ces joueurs, nous devons respecter leurs décisions. Ils savent ce que nous pensons et ils sont libres de décider ce qu'ils veulent."

Militao : "Il peut commencer demain. Il va bien. Il lui manque juste quelques minutes, mais il est prêt."

Fede Valverde : "Il est difficile de dire où il peut s'améliorer. C'est un joueur d'équipe et c'est décisif. Il apporte sa contribution à n'importe quel poste. Il est irremplaçable."

Le Clásico : "Nous sommes très proches. C'est un adversaire très compétitif. Ce sera le Clásico, comme toujours."

Le système à cinq défenseurs : "Nous l'avons exclu dès le début, pas pendant le match. Si nous avons besoin de six, sept, ou de jouer avec deux gardiens, nous le ferons."

Modric : "Il n'acceptera jamais d'être remplaçant. Il a toujours la même envie."

Mendy : "Il a un contrat, il est très important pour nous. Il ne se préoccupe pas de la vitrine, il apporte sa contribution en tant que supporter. Pour nous, c'est le meilleur du monde, mais pour tous les coéquipiers, parce qu'à l'entraînement c'est pareil, ce n'est pas facile de négocier avec lui."

Rüdiger : "Nous ne l'avons testé que lundi avant de partir. Il a tiré trois penalties et les a marqués. Je ne l'ai jamais vu les tirer, mais ce sont des moments où l'aspect émotionnel est plus important. Il est parfois difficile d'en trouver cinq dans une séance de tirs au but. L'autre jour, il y en avait plus de cinq qui voulaient les tirer et nous avons choisi ceux qui, d'un point de vue émotionnel, étaient les plus convaincus de le faire."

Rodrygo : "Je le vois très bien, il a eu des moments délicats cette saison parce qu'un attaquant qui ne marque pas est plus compliqué à gérer, mais il a toujours travaillé, il a encore marqué. Il est très important pour nous, il est très motivé, il est très motivé, il se repose demain... jusqu'à 9 heures."

Son secret : "La force d'une équipe, c'est la force d'un groupe de travail, de joueurs qui ne font pas passer leur ego personnel avant le succès de l'équipe. C'est cela. Le match peut laisser des doutes, en revanche, mais voir un tel engagement est rare dans une équipe de haut niveau."

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