Des Niçois en quête de relance s'attaquent à un PSG favori en 1/4 de Coupe de France

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Des Niçois en quête de relance s'attaquent à un PSG favori en 1/4 de Coupe de France
Jérémie Boga et Melvin Bard lors du match de ce week-end contre Montpellier.
Jérémie Boga et Melvin Bard lors du match de ce week-end contre Montpellier.AFP
Ce mercredi soir, le Paris Saint-Germain reçoit l'OGC Nice pour disputer le 1/4 de finale de Coupe de France. Moins flamboyant qu'à son habitude en Ligue 1, le club de la capitale reste favori pour gagner ce tour et la compétition. De son côté, Nice est en proie aux doutes.

"On sera là pour aller en demi-finales dans une compétition qui nous tient vraiment à cœur." Face aux médias, Francesco Farioli a conservé une attitude conquérante. Il compte débarquer à Paris avec l'intention de l'emporter. Seulement, en chute libre en championnat, le tacticien et son équipe sont en plein doute. Et, rien ne sera facile, car bien que Nice ait été l'unique groupe à avoir battu le PSG en Ligue 1 cette saison, le club de la capitale a toujours soif de titres. 

Un Paris qui ne lâche rien

"On va prendre le match contre Nice comme une finale", a annoncé Luis Enrique d'emblée en arrivant en conférence de presse ce mardi. Rien ne sera donc laissé au hasard dans ce 1/4 de finale puisqu'il "n'y a que 90 minutes pour l'emporter"

Sur trois nuls lors de ses trois derniers matchs de L1, Paris a tout de même su tenir tête à la Real Sociedad et passé l'étape fatidique des 1/8 de finale de Ligue des champions au cours des dernières semaines. C'est assez pour affirmer qu'il tient toujours bon. 

Avec ou sans une titularisation de Kylian Mbappé, la présence de Marquinhos, la vitesse d'Ousmane Dembélé ou la créativité de Gonçalo Ramos, le club n'a pas connu la défaite en 2024. Il compte bien faire en sorte que ce soit encore le cas. 

"Nous ne sommes pas revanchards envers Nice. Mais, le match est très attractif et nous voulons tout gagner. C'est une équipe très bonne avec le ballon, exceptionnelle sans. Ce sera assez difficile", a souligné l'entraîneur espagnol. 

Nice, au point culminant de sa saison ?

Pour les Aiglons, le match a des allures de test. Cela passe ou cela casse. Après la méforme affichée depuis le début de l'année, l'équipe azuréenne a besoin d'une victoire pour se relever. Et quoi de mieux que de l'emporter contre le PSG, voire le surpasser pour aller chercher le titre de la Coupe de France, pour repartir positivement ? 

"Le match de septembre (gagné 2-3, ndlr) est toujours dans nos têtes. Devant nous se trouvera une équipe qui donnera tout pour avancer, il faudra faire de même", a répété le chef d'orchestre niçois, sans réellement convaincre son auditoire. 

Très mal en point, l'OGCN enchaîne les nuls et les défaites. Malgré sa combativité au milieu de terrain, sa force de projection, et la qualité de frappe de ses attaquants, rien n'y fait. Même sa défense – sûre en début de saison –, laisse apparaître de grandes et fatales faiblesses. La réaction est donc capitale pour ne pas finir l'année en gâchant les efforts de sa 1ʳᵉ partie.

"En ce moment, on l'a dit et redit, on a besoin de retrouver cette étincelle. Si on regarde les résultats, on est dans un moment difficile. Si on regarde mieux, avec une analyse un peu plus profonde et lucide, on n’est pas si loin de la possibilité de revenir. Il y a eu des matchs où on a eu beaucoup d’occasions, on a eu aussi un peu de malchance. Il faut qu’on soit plus uni et compact. Nos atouts sont notre jeu, nos idées et la qualité de nos joueurs."

France gouvernement

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