Humiliée à domicile par le Partizan, l'ASVEL demeure au fond du trou en Euroligue

Publicité
Publicité
Publicité
Publicité
Publicité

Humiliée à domicile par le Partizan, l'ASVEL demeure au fond du trou en Euroligue

Calvaire pour TJ Parker et l'ASVEL.
Calvaire pour TJ Parker et l'ASVEL.Profimedia
Pour sa première à domicile de la saison, l'ASVEL continue son cauchemar en Euroligue. Amorphe, le club lyonnais a totalement sombré face au Partizan, et n'a plus gagné depuis janvier dans cette compétition.

La semaine dernière, l'ASVEL n'a pas existé pour son entrée en lice en Euroligue sur le parquet de l'Étoile Rouge. Ce soir, c'est l'autre équipe de Belgrade, le Partizan, qui était l'adversaire du club lyonnais, mais à l'Astroballe. Un avantage du terrain qu'il fallait exploiter pour lancer une saison espérée différente de la précédente dans cette compétition. 

Ainsi, le rythme est élevé en début de match, mais l'adresse n'est toujours pas au rendez-vous. Beaucoup de points en transition, des Serbes qui punissent les errements défensifs des locaux, que l'on sent rapidement sur un fil. L'attaque manque d'efficacité, et le coach lance rapidement Joffrey Lauvergne pour redonner du punch à son attaque, mais c'est peine perdue. 

C'est moindre mal que l'ASVEL ne soit qu'à quatre points après 10 minutes (13-17), au vu du misérable 1/8 à trois points. Et les affaires locales ne s'arrangent pas puisque le deuxième quart commence par un 5-0 serbe qui jette le trouble sur les ambitions lyonnaises. Malgré les efforts de Mike Scott, l'écart atteint les 10 points. 

La mi-temps n'est même pas là que l'ASVEL est déjà en déroute. Le manque de variété en attaque devient véritablement problématique, mais le pire, c'est que le Partizan ne semble pas réellement dans un grand soir. Mais la qualité individuelle, notamment celle des anciens de NBA PJ Dozier et Frank Kaminsky suffit à créer un écart presque irrémédiable à la pause (29-43). 

Une réaction messieurs dames ? Pas du tout, puisque l'ASVEL encaisse un 6-0 pour démarrer la deuxième période. Conscient d'affronter un adversaire à côté de son match, le Partizan accélère et déroule son basket. De facto, l'écart atteint les 20 points, mais on ne voit pas une étincelle, une volonté de renverser le match, une envie de réveiller cette équipe amorphe, qui se fait transpercer de toutes parts. 

Après trois quart temps, la cause est entendue (48-72). Le dernier quart ne sera qu'une longue litanie avec une équipe clairement malade, qui aura sorti un pathétique 4/27 à trois points, et qui finira de sombrer totalement devant un public abattu. Le Partizan ne fait preuve d'aucune pitié, sanctionnant à tout-va en contre-attaque pour alourdir la marque le plus possible. 

L'ASVEL s'incline finalement 62-86 et reste sans victoire dans cette nouvelle saison d'Euroligue. Cela fait tout simplement 15 défaites d'affilée dans cette compétition, la dernière victoire remontant à fin janvier. Une hérésie alors que les Lyonnais vont enchaîner cinq déplacements sur leurs six prochains matchs, et l'on se demande quand ils sortiront de cette spirale infernale. 

France gouvernement

Les jeux d’argent et de hasard peuvent être dangereux : pertes d’argent, conflits familiaux, addiction…

Retrouvez nos conseils sur joueurs-info-service.fr (09-74-75-13-13, appel non surtaxé)