Lando Norris
Comment c'était d'être sur le podium ? : "Je ne voyais que des caméras. C'est vraiment un grand sentiment. Il y avait mes parents. C'est spécial. Voir le drapeau à damiers... La victoire à Monaco a été un de mes rêves depuis que je suis enfant. C'est gagner en F1 et à Monaco. Je suis fier de moi et de l'équipe. C'est vraiment un accomplissement".
Des soucis pendant la course ? : "Des fois, j'ai eu l'impression qu'il fallait que je pousse. Charles n'était pas loin à la fin. Mais, on a bien géré. A la fin, c'était un résultat parfait. Je me suis bien senti".
La confiance qu'il a gagné pour la suite : "Hier m'a donné confiance. Hier, était un meilleur jour. J'étais plus fier parce qu'une pole à Monaco est un accomplissement. C'était un très bon week-end pour moi".
Les deux arrêts : "J'ai vraiment détesté ça ! J'aurais préféré un seul, j'aurais été plus calme. Mais, c'est fait pour les spectateurs".
La pression à la fin : "J'ai pensé que je ne pouvais pas agir sur ce que Max faisait. Si ça arrive, ça arrive. Et si Charles était passé aussi".
Est-ce que ça a relancé la course au titre ? : "Les gens peuvent écrire ce qu'ils veulent. Ils ont des opinions. Je me fiche de ce qu'on peut écrire, on connait la vérité. J'ai beaucoup travaillé pour retrouver la confiance que j'avais en Australie. Ce que j'ai fait ce week-end l'a un peu relancé. Mais, pas entièrement. Il y a toujours des trucs sur lesquels je dois travailler pour maximiser les résultats. Je suis vraiment fier de ce qui s'est passé hier. Aujourd'hui, c'est incroyable, mais j'étais plus touché hier qu'aujourd'hui. Il y a de la compétition. Je suis contre les meilleurs. Si je ne performe pas au mieux, je ne joue pas dans la même cour".
Etre fier de gagner à Monaco : "Mes enfants, dans le futur, seront fiers de dire que j'ai gagné le Grand Prix de Monaco. Ce sera vraiment en haut. J'espère que mon record d'hier tiendra longtemps. L'histoire... Les gens qui ont gagné ici... Ca fait partie de la légende. On pourra dire que j'ai gagné ici au moins en 2025".
Les deux arrêts étendus à toutes les courses ? : "La F1 ne devrait pas devenir un spectacle. C'est un sport, c'est une course. Je ne veux pas que les courses soient manufacturées".
Charles Leclerc
Bon week-end pour Ferrari ? : "Je ne suis jamais vraiment content avec une seconde place. Si on regarde la saison, c'est très positif. Ici, nous avions des attentes vraiment basses. Mais, ici c'est aussi un circuit spécifique. Ca a aidé. Nous avons fait un bon job. Lewis a aussi pris des points. On devrait être fier. Est-ce que je suis aux anges pour ma P2 ? Pas vraiment, mais c'était positif".
Doubler est-il vraiment difficile ? : "J'y ai vraiment cru jusqu'à la fin. Toute la nuit, j'ai pensé à tout ce que je pourrais faire pour avoir la victoire. Mais, l'opportunité n'est jamais venue. Lando a vu ce que je pouvais faire et a bien défendu donc, je ne pouvais rien faire".
Les arrêts : "J'étais content que ça soit le cas aujourd'hui en étant second. C'est intéressant. Il y avait beaucoup de choses qui se passaient. Ca donne des opportunités. Je n'ai pas encore regardé la course. Ca a toujours été un peu comme ça à Monaco".
"Ca ajoute du hasard. Tu peux être chanceux ou non. Ca a été souvent le cas à Monaco".
Les voitures et les tailles la saison prochaine : "Je ne sais même pas comment les voitures seront. Monaco sera toujours compliqué. On s'adapte toujours. Je n'ai pas la réponse. J'espère que l'an prochain, dépasser sera plus facile".
Ferrari et les améliorations à développer : "Notre plus grande faiblesse est les virages lents. Ici, il y avait des bosses et des courbes c'est pour ça qu'on a bien travaillé".
Oscar Piastri
Est-ce que ça s'est déroulé comme il le pensait ? : "Il y a eu beaucoup d'action derrière. Mais pour moi, oui, ça a été comme je le pensais. J'aurais bien voulu que mon rythme soit un peu plus important".
Est-il content de la voiture ? : "Tout était ok mais, on ne peut pas vraiment pousser à la limite pendant la course. Le rythme était plutôt bon, donc ça allait".
Les arrêts : "Ca a tout rendu plus intense. Il y avait de la stratégie mais, devant, ça n'a pas changé beaucoup de choses".