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"Les vérifications techniques d’après-course ont révélé que le support de l’aileron arrière de la voiture n’était pas conforme au test de flexion" prévu par le règlement "et au formulaire d’homologation de la voiture n°50", selon un communiqué.
Les commissaires techniques ont également relevé l’absence de quatre boulons sur le support d’aileron arrière de la Ferrari pilotée par Antonio Fuoco, Nicklas Nielsen et Miguel Molina. Ces deux manquements entraînaient "un risque potentiel pour la sécurité".
"Le concurrent a déclaré que cette flexion excessive était due à l’absence des boulons, et a affirmé que cela n’avait procuré aucun avantage en termes de performance," indique également le communiqué.
Les deux autres Ferrari conservent leur position au classement : la n°83 du pilote polonais Robert Kubica s'est imposée, et la n°51 a terminé troisième. Une Porsche s'est intercalée à la deuxième place.
Cette décision profite à la Cadillac n°12 du Hertz Team JOTA, partie en pole position, qui récupère la 4e place.