"Je lui ai demandé si je pouvais lui donner un petit baiser, elle m'a dit "d'accord" et c'est ce qui s'est passé", a déclaré Luis Rubiales, qui s'exprime mardi pour la première fois depuis le début de son procès, entamé le 3 février.
"Ce qui s'était passé (le baiser) n'avait aucune importance, ni pour elle, ni pour moi", a aussi assuré Luis Rubiales. Il est jugé pour agression sexuelle et pour les pressions exercées sur la joueuse afin d'atténuer le scandale provoqué par le baiser sur les lèvres qu'il lui a fait sur le podium de remise des médailles après la finale du Mondial en août 2023.
"Cela n'a rien à voir" avec un comportement violent, "il s'agissait d'un geste d'affection", a encore plaidé l'ex-homme fort du football espagnol, qui a longtemps décrit ce baiser avant le procès comme "un bisou de célébration entre deux amis".