Luis Enrique (entraîneur du PSG) : "Je ne peux pas imaginer cette conférence de presse si ça s'était arrêté à 2-0.
C'était un match avec un pressing intense, avec deux équipes de haut niveau. Dans l'intensité, c'est peut-être notre meilleur match. (...) Face à City, on ne peut pas calculer et malgré les deux buts malheureux, l'équipe y a cru jusqu'au bout. Prendre le ballon à l'une des meilleures équipes du monde, c'était l'objectif.
Je ne peux pas nier le fait que nous avons un public extraordinaire. Je lui dédie cette victoire et je félicite mes joueurs.
Nous avons déjà retourné la situation à Lens et contre Monaco. Mon équipe a la foi et ne se rend pas jusqu'à la fin du match. Cette victoire va renforcer mes joueurs.
La majorité de mes équipes ont beaucoup marqué. À 0-2, le football a démontré une nouvelle fois toute sa cruauté. Ce résultat renforce notre état d'esprit. Effectivement, ce résultat démontre qu'il y a une justice en Ligue des Champions.
Les critiques, il y en a aura toujours et il faut faire avec. Ça m'est égal d'être critiqué ou complimenté.
Je suis ravi qu'on ait sur gérer cette pression incroyable face à une grande équipe et des grands joueurs. Mais si nous n'avions pas retourné la situation, les constats seraient tout autre et c'est logique.
Gonçalo Ramos est toujours au rendez-vous. Ce n'est pas étonnant mais il y aura toujours de la concurrence. Cela signifique que personne n'est indiscutable. Nous avons besoin d'avoir des joueurs avec un état d'esprit irréprochable comme Ramos ou Lucas Hernandez.
Avec ce résultat, il n'y a aucun doute sur ce que nous sommes capables de faire. (...) Si on est capable de le faire face à City, on peut le faire contre n'importe quelle équipe. On a travillé pour renverser cette situation, ça a été un soulagement au coup de sifflet final".