L'entraîneur suisse, aujourd'hui sélectionneur de l'Algérie, demandait 13,6 millions d'euros, et son ancien assistant italien, actuel entraîneur adjoint de l'Iran, près d'un million en dédommagement de leur licenciement pour "faute grave" en février 2022 lorsque Bordeaux évoluait en Ligue 1.
L'instance prud’homale a débouté les deux hommes et les a condamnés à verser 35 000 euros de frais de procédure aux Girondins de Bordeaux.
Cette décision, susceptible d'appel, permet de soulager financièrement les Girondins, aujourd'hui en National 2 et placés en redressement judiciaire depuis l'été, qui avaient provisionné plusieurs millions d'euros pour ce rendez-vous devant les prud'hommes. Contacté par l'AFP, le club bordelais n'a pas réagi dans l'immédiat.