"Cela, c'est évident", a-t-il enchaîné, avant de spécifier : "Quand le collectif peut mieux faire, c'est qu'on peut tous mieux faire à l'intérieur du collectif". Pourtant, le coach niçois ne compte pas "refaire le bilan du mercato le 24 septembre".
Pour lui, "une équipe qui avance, c'est une équipe régulière". "Et avant de parler de résultats, il faut être régulier dans les performances, a-t-il précisé. Sur les trois derniers matches (Nantes, Brest et Rome, ndlr), on n'a pas été régulier trois fois. Quand on sera régulier dans les performances, je dirai : 'L'équipe avance'. Il y a encore trois matches qui arrivent (Paris FC, Fenerbahçe et Monaco, ndlr). Très vite, on verra si on avance dans la régularité."
Il a reconnu la grande difficulté "de sortir du pressing" de Rome, "une équipe très forte physiquement, très forte techniquement".
"On a été amené à jouer long dans un premier temps, à sauter le pressing, pour essayer de ne pas avoir trop de pertes basses."
"On était dans le projet de ce qu'on voulait faire, a-t-il repris. Puis, il y a cinq minutes qu'on peut regretter, notamment la façon dont on concède le corner sur le premier but."
"On a fait un bon match, a estimé pour sa part Gian Piero Gasperini l'entraîneur romain. Il n'est jamais facile de gagner à l'extérieur en Europe. On n'a pas eu d'occasion en première mi-temps. Mais quand on domine, elles arrivent progressivement. Il a fallu aussi progresser tactiquement et physiquement (pour marquer, ndlr)."
En revanche, "il faut apprendre à ne plus commettre certaines erreurs de naïveté, a-t-il conclu. Le pénalty a relancé les Niçois."