La sélection : "J'ai eu ma première sélection en septembre. J'y suis encore jusqu'à présent. J'essaie de donner le meilleur en restant moi-même. On a une bonne équipe et j'espère qu'on ira loin ensemble".
La victoire du PSG : "Je suis né à Colombes, en région parisienne. On a vu la finale à Clairefontaine. En tant que Parisien, on est très contents. J'espère qu'ils gagneront encore des trophées".
"Nos coéquipiers ont été très bons. Le pressing du PSG m'a choqué. L'Inter est une très bonne équipe, les avoir contrés comme ça, c'est choquant. L'Inter, ce n'est pas rien. C'est compliqué de leur mettre 5-0. Les Parisiens ont un grand avenir".
"Les Parisiens inspirent. L'Inter, c'est une meilleure défense. En Italie, c'est compliqué de mettre un but à l'Inter. Je pense que beaucoup d'équipes vont s'inspirer du PSG".
Sa progression : "J'ai confiance en moi. Le coach, le staff et mes partenaires m'ont beaucoup aidé. Ils m'ont mis à l'aise. Le coach me demande de rester moi-même. Ça m'a souri, j'en suis très content".
Son positionnement : "Je suis assez nouveau en équipe de France. Il a plusieurs systèmes et je suis à l'aise dans tous les systèmes. Contre la Croatie, on était galvanisés, on voulait vraiment tous gagner".
Affronter l'Espagne : "On ne se dit pas que c'est une revanche, mais on veut gagner. On est confiants et sereins".
"On est des compétiteurs. C'est un trophée à avoir, on sait que ça passe par l'Espagne. On est tous galvanisés, on bosse bien. On va arriver frais pour tenter de gagner ce match".
Sa saison à la Roma : "Le bilan est mitigé, collectivement on revient de loin. On a eu trois coachs. Je venais d'arriver, donc il a fallu se faire une place avec une forte concurrence. On a aussi la chance d'avoir Claudio Ranieri. On a tout donné, on est très fiers et on attend la saison prochaine".
Désiré Doué : "Ce qu'il a fait à 20 ans, bon anniversaire en avance (sourire), c'est impressionnant. Mais on n'est pas choqués, c'est Désiré".
Lamine Yamal : "C’est un très bon joueur. Il est très jeune, il fait de très bonnes choses, en Champions League ou en sélection. Mais pour le Ballon d’or, je suis Français, donc je milite pour mes coéquipiers".
Le Ballon d'or : "Il y a deux très grands Français qui peuvent l’avoir aujourd’hui, un qui joue au Real, l’autre PSG, je voterai pour les deux".
Rayan Cherki : "Rayan, j'ai pu le côtoyer en Espoirs. C'est un bon gars, simple, lui-même. Toujours prêt à faire rire les autres. Comme sur le terrain, il a la même folie en dehors".