Xabi Alonso joue son avenir face à Pep Guardiola, l’un de ses mentors lorsqu’il était joueur. Avant cette confrontation, le natif de Tolosa a partagé ses impressions sur la période difficile que traverse actuellement le Real Madrid.
Match contre City : "C’est une grande affiche, une excellente opportunité pour continuer à avancer et engranger des points en Ligue des champions. Les joueurs et les supporters savent déjà à quoi s’attendre pour ce match."
Plus difficile de battre le fisc ou de renverser la situation du Real Madrid : "Nous sommes convaincus que nous pouvons gagner demain. Nous sommes prêts. Il faudra jouer avec du rythme, être compétitifs et mettre de l’intensité."
Du meilleur au pire match en quatre jours : "Après le match contre le Celta, nous avons tiré nos conclusions. Désormais, toute notre attention est tournée vers le City."
Se sent-il seul ? : "C’est un collectif, un club, nous avançons tous ensemble. Être entraîneur du Real Madrid, c’est être prêt à affronter ce genre de situations. Dès aujourd’hui, nous avons le City en tête. Dans le football, tout peut changer très vite, en bien comme en mal."
Message aux supporters madrilènes : "Je suis certain que leur état d’esprit évolue en même temps que le nôtre. Ils vont se prendre au jeu petit à petit pour le match de demain, tout comme nous."
Se détacher des rumeurs sur son départ : "Ma priorité, c’est l’équipe et le match de demain."
Battre Pep Guardiola : "Tout le monde sait que nous avons affronté le City à de nombreuses reprises et je considère que c’est une belle opportunité à ce moment précis."
Déclarations de Salah : "Ce sont des décisions prises à Liverpool. Il est certain que beaucoup de détails nous échappent sur ce qui se passe là-bas. Ce n’est absolument pas à moi d’en juger."
Ressent-il le soutien de tout le groupe ? : "Oui."
Manchester City : "C’est l’équipe de Pep, qui est au club depuis huit ans et qui l’a fait évoluer. Après tout ce temps, il y a des choses très identifiables dans leur jeu. Ce sera un adversaire de taille."
Relation avec la direction : "La communication est permanente, basée sur la confiance, l’unité et la bienveillance."
Changerait-il à nouveau Vini lors du Clásico : "Je ne vois pas le sens de cette question, mais si c’est la décision à prendre, je le referais."
