PSG
Donnarumma (6) - Hakimi (7), Marquinhos (6), Pacho (6), Mendes (6) - Ruiz (5), Vitinha (7), Neves (8) - Lee (5), Doué (6), Barcola (7).
Remplaçants : Dembélé (7), Zaïre-Emery (6), Ramos (6), Hernandez (5)
City
Ederson (3) - Nunes (3), Dias (5), Akanji (5), Gvardiol (4) - Kovacic (4) - Foden (6), Silva (5), De Bruyne (6), Savinho (4) - Haaland (6).
Remplaçants : Grealish (6), Lewis (3), Gundogan (4), McAtee (3), Stones (4)
Le MVP : Joao Neves
Il est monté en puissance au fil de la rencontre, le Portugais a sorti le grand jeu en seconde mi-temps. Malgré les deux buts encaissés, Neves est parvenu à sonner la révolte grâce à son activité avec et sans ballon dans l'entrejeu. Et, pour couronner le tout, c'est lui qui a fait passer son équipe devant au tableau d'affichage d'une superbe tête plongeante.
Le(s) patron(s) : Bradley Barcola & Ousmane Dembélé
Difficile d'en mettre un au-dessus de l'autre, bien que la rentrée de Dembélé a fait beaucoup de bien à ses coéquipiers dans l'animation de jeu offensive. Les deux ont une nouvelle fois prouvé ce mercredi soir qu'ils étaient capables d'être décisif dans les grands rendez-vous. Surtout, ils ont osé et ont été récompensés. Buteurs coup sur coup, Dembélé et Barcola ont fait basculer le match dans l'irrationnel en redonnant espoir au Parc des Princes. Plus que jamais, le N°10 de Luis Enrique est en train de changer de dimension au sein de son équipe.
La bonne surprise : le mental parisien
Il y a encore quelques années, le PSG aurait peut-être complètement lâché en étant mené 2-0 de cette manière. Mais ce soir, le collectif de Luis Enrique a cru en lui malgré la cruauté des événements. C'est peut-être une victoire davantage psychologique que tactico-technique. Néanmoins, il ne faut pas négliger la très belle animation mise en place qui a fait déjouer City. En revanche, il est certain que cette équipe-là a de sacrées ressources.
La déception : l'animation de jeu mancunienne
On savait les Citizens dans le dur depuis l'automne, malgré le regain de forme récent. Ce mercredi soir, les hommes de Pep Guardiola n'ont pas trouvé la solution dans la tête et dans les pieds. Ils ont clairement subi les assauts répétés en seconde période et n'ont jamais su mettre la main sur le rythme de la rencontre.