La victoire à Auxerre : "La victoire à Auxerre nous a fait beaucoup de bien. On est allé chercher la victoire avec de la grinta. On a montré qu'on sait gérer. On sait que demain, c'est un match à la maison de Ligue des champions contre un adversaire de haute qualité."
L'OM en Ligue des champions : "Après les trois premiers matchs, j'aurais bien aimé avoir neuf points. Avec le niveau qu'on a montré, on sait très bien qu'on a quelque chose à faire dans la compétition. On est conscient qu'on a des choses à améliorer. Mais on doit continuer sur le bon chemin avec quelques ajustements."
Pierre-Emerick Aubameyang : "L'avoir dans le vestiaire, avec le comportement, la motivation, la personnalité et la qualité, c'est très bien pour les jeunes, pour l'équipe et le club. Il nous amène beaucoup de bonheur."
Les blessures et la récupération : "Le temps de récupération n'est pas long. Mais on sait aussi que c'est comme ça pour tout le monde. L'année dernière, on a tout fait pour être dans cette situation. Donc cette année, on doit tout faire pour montrer qu'on a l'état d'esprit et le niveau. Demain, ça va être un gros match. La saison est longue et c'est important que tout le monde soit conscient de ça. Mais je trouve qu'on est sur le bon chemin. Il faut rester focus et motivé. "
Le début de saison : "On est en novembre, si on m'avait dit avant le début de saison qu'on aurait montré notre niveau en Ligue des champions et à deux points du premier en Ligue 1, j'aurais dit que c'était pas mal. Je suis conscient que la qualité et le caractère des joueurs dans le vestiaire sont quelque chose de très bien. Il faut garder le côté compétitif. Avoir la faim de faire les choses bien en attaquant le match et la bonne mentalité de rester équilibré."
L'adaptation : "Le coach a son style de jeu. Mais après, il y a l'adversaire. Il faut respecter qu'il vienne nous presser et nous embêter tactiquement. On doit être prêt à s'adapter dans notre système."
Le Vélodrome : "Le Vélodrome fait un peu de bruit. C'est particulier, difficile à expliquer. Il faut le vivre, le sentir. Après les matchs, parfois, je me retrouve à 5 ou 6h du matin avec les yeux ouverts. C'est comme se prendre une gifle, ça te réveille pendant longtemps. Ça peut être le stade le plus bruyant. J'ai eu la chance de faire des beaux stades, mais le Vélodrome c'est unique."
Roberto De Zerbi : "Dans le foot où il y a beaucoup de pression, c'est rare de rencontrer des gens avec un cœur très grand. C'est ce que j'ai pourtant ressenti avec le coach. Il faut aussi avoir de la qualité dans cette profession. J'ai été entraîné par Antonio Conte, Pep Guardiola... Ils sont tous extraordinaires et je mets Roberto à côté d'eux."
