Son état physique : "J'ai eu une petite déchirure en fin de match contre Lyon (1-1, le 1ᵉʳ novembre) au niveau du long adducteur. C'était un grade II, mais assez minime. Cela s'est bien résorbé, je m'entraîne avec le groupe depuis quelques jours, tout se passe plutôt bien. Je suis apte à débuter, je suis fin prêt."
Le statut face à Bologne : "Déjà on récupère certains joueurs blessés, ce qui est un très bon point. Après, il ne faut jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué : on joue en déplacement, face à une équipe qui se cherche, mais qui cherche aussi le déclic, le match référence, ce que la Coupe d'Europe peut tout à fait amener. Je ne dirais pas qu'on part ultra-favoris, mais on a toutes nos chances. Tout en restant très méfiant."
L'état d'esprit du groupe : "Je peux vous assurer que le staff s'occupe très bien de nous, qu'il est là pour remettre les pendules à l'heure quand il y a un petit relâchement. Tout le monde est focus. Depuis le début de saison, on a vu une équipe intransigeante, professionnelle, qui fait le maximum. Les erreurs sont rarement apparues. Je ne pense pas qu'il y ait qui que ce soit dans ce groupe qui va prendre ce match à la légère. Sûrement pas. On a vu notre potentiel, on a vu ce qu'on pouvait créer, la confiance est pleinement là. Il n'y aura pas d'hésitation sur le terrain."
La forme lilloise en C1 : "Nous avons créé cette magie avec nos résultats. Quand les gens ont vu notre calendrier, personne n'aurait cru qu'on allait battre le Real (1-0), l'Atlético (3-1), accrocher la Juventus (1-1). Mais désormais, la situation est totalement différente. La magie doit continuer. Espérons qu'on gagne encore demain (mercredi) pour se rapprocher encore de la qualification."