Le souvenir de l'an dernier : "Je n'y pense pas. Je n'utilise rien de particulier. Il s'agit de vivre une date particulière. C'est l'état d'esprit que doit avoir l'équipe. Nous avons mérité d'être là. Il faut jouer le match retour et le gagner."
Mikel Arteta : "J'ai eu la chance de le connaître quand j'étais joueur. Nous étions ensemble au Barça. Je conserve le souvenir d'une personne qui a une forte qualité. C'est un grand entraîneur. A Arsenal, il a montré une évolution très positive. Je lui souhaite le meilleur mais pas pour demain. Demain, ce sera complexe. Le match aller a été compliqué, le match retour le sera aussi."
Une équipe qui lui ressemble ? : "Je crois que nous avons parlé de cela avant la demi-finale. C'est normal que la 1re année, il y ait des choses à observer et résoudre. La 2nde est celle de l'approfondissement, l'amélioration, ressentir une bonne confiance. Nous vivons une grande évolution. Et nous voulons continuer à la vivre."
Milieu de terrain : "Sincèrement, je pense qu'il n'y a pas une seule ligne qui soit supérieure aux autres. C'est l'une des grandeurs de cette équipe. S'il y a un joueur qui manque, l'équipe est compétente pour être compétitive. Nous ne calculons pas. On essaie de répéter un même mécanisme de match à domicile et à l'extérieur. Ce n'est pas facile. Ca demande un état d'esprit très clair. Demain, nous allons essayer de répéter cela. Nous serons agressifs. Avec la qualité de mes joueurs, c'est un avantage et je suis très content de ce que je vois."
Ousmane Dembélé : "Il s'entraîne avec le groupe. Je l'ai à ma disposition."
"Il a un passé très clair. Il a tiré profit de son expérience. Il a vécu auprès de joueurs avec une philosophie de jeu qui est semblable à la nôtre. Quand il y a un changement dans les espaces, on veut trouver nos joueurs qui déséquilibrent. J'aime beaucoup le partager avec mes joueurs."
Changement dans les mentalités sur le PSG : "Au fil de la saison, l'équipe a reçu beaucoup d'éloges du fait de sa manière de jouer et de sa mentalité. Cela a été un objectif. Je veux que les supporters voient un spectacle. Le football, c'est comme le théâtre. C'est un sport aussi et ce qu'il y a de plus important, ce sont les valeurs."
Inter ou Barça ? : "Je ne pense qu'à la demi-finale. Pour le reste, on verra. J'ai un passé. Et j'ai un amour pour le Barça qui ne disparaîtra jamais."
La clef de la demi-finale : "Je ne l'ai pas. La confiance, la manière dont nous jouons, nos efforts, cela comptera. On va forcément souffrir. Cela va être un match avec un jeu égal. Il faut se rapprocher de la performance de l'aller et être fidèle à nos valeurs."
Travail collectif : "Tous les entraîneurs ont un impact sur leurs joueurs. Moi, j'ai essayé de dire que j'avais des joueurs d'un très grand niveau. Je ne change jamais ma manière en fonction de la renommée d'un joueur. J'essaie de donner une meilleure version des joueurs et de l'équipe."
Arsenal : "Ils vont essayer de revenir. Le résultat conditionne les équipes. Il faut savoir ce qu'on peut faire. Nous allons rentrer dans ce match et forcer sur nos points forts. Si cela ne se passe pas comme nous le voulons, nous continuerons de nous comporter ainsi."
La préparation mentale : "Je pense que tout est simple. Nous suivons la routine habituelle. Nous avons parlé de ce que nous pouvions améliorer. Les joueurs ont vu les choses à la vidéo et se sont entraînés. Nous entrons dans ce genre de match en faisant en sorte que tout soit fluide. Un travail a été fait en amont tout le long de la saison. Il faut se reposer. Passer du temps avec ses proches, et essayer de profiter."
Ce que représenterait la qualification en finale : "C'était la même chose contre Dortmund. J'ai une deuxième chance d'avoir une bonne célébration pour mon anniversaire (le 9 mai, ndlr). Mais je l'accepterai si ce n'est pas le cas. Je vais essayer de profiter du match, tout transmettre aux joueurs."
Un déclic dans la saison ? : "Non, il n'y en a pas. Le match contre City était particulier, cela a été un moment où on a eu des soucis mais, on les a résolus. J'ai toujours été confiant. Je l'ai senti depuis le premier jour."
Khvicha Kvaratskhelia : "On le connaît vraiment très bien. Il est jeune, mais a beaucoup d'expérience. Au début, c'est difficile de changer de pays, de Championnat. Mais, il est entré dans ce processus avec beaucoup d'ouverture d'esprit. Aujourd'hui, il joue presque tous les matchs. Ses qualités sont au-dessus de la moyenne. Je suis très fier de ses performances et content de ce qu'il fait avec et sans le ballon. Ici, il faut l'être. Et, il s'est bien adapté à cela. On est très heureux de l'avoir à Paris."