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"Le Bayer Leverkusen est l'une des meilleures équipes d'Europe", prévient Inzaghi

Inzaghi lors du match contre Parme.
Inzaghi lors du match contre Parme.PIERO CRUCIATTI/AFP

L'Inter ne part pas favori de son duel ce mardi en Ligue des champions face au Bayer Leverkusen, "l'une des meilleures équipes d'Europe" selon l'entraîneur des Nerazzurri Simone Inzaghi.

"Nous connaissons très bien le Bayer Leverkusen, une équipe technique qui produit un très beau football, qui vous met sous pression, bien organisée, qui vous agresse dès qu'elle a perdu le ballon", a détaillé Inzaghi en conférence de presse.

"C'est l'une des meilleures équipes d'Europe qui, sur les seize derniers mois, n'a perdu que trois matches et on n'a eu que deux jours et demi pour préparer ce sacré défi", a-t-il poursuivi.

Le duel entre le champion d'Allemagne en titre, 6ᵉ au classement de la phase de ligue avec dix points, et le champion d'Italie sortant, 2ᵉ avec 13 points sur quinze possibles, peut rapprocher son vainqueur d'une qualification directe pour les quarts de finale.

"Notre parcours jusque là a été excellent, a souligné Inzaghi. Disons que si on atteint les 17 points on peut espérer se qualifier directement, et avec 18 points, cela sera fait."

Depuis sa lourde défaite à Liverpool (4-0), Leverkusen a enchaîné cinq victoires consécutives, toutes compétitions confondues et a retrouvé de l'ambition, a estimé son entraîneur, Xabi Alonso.

"Nous sommes sur la bonne voie pour viser des grandes choses, notre but est de terminer parmi les huit premiers" de cette phase de ligue, a insisté le technicien espagnol. "Le match de mardi est important", a-t-il prévenu.

Confronté aux blessures de Victor Boniface et d'Amine Adli, Xabi Alonso va finalement pouvoir compter sur Patrik Schick qui s'est blessé à un mollet la semaine dernière en Coupe d'Allemagne. "Il se sent mieux, nous verrons demain s'il est prêt à jouer dès le début et s'il entrera en seconde période", a expliqué son entraîneur.

De son côté, Inzaghi sera privée de Denzel Dumfries, grippé, et deux cadres de sa défense, Francesco Acerbi et Benjamin Pavard. "Cela complique un peu les choses, mais nous sommes sereins", a-t-il conclu.