Monaco ne compte qu'un point en deux matches dans la compétition, mais selon Pocognoli, il n'y "pas encore urgence", même si "c'est sûr que commencer par une défaite à Bruges (4-1) grille déjà un joker". Mais le coach belge a assuré, fort de son expérience de la saison dernière où l'Union Saint-Gilloise n'avait recueilli que deux points en quatre matches avant de se qualifier pour la Ligue Europa, "qu'un début compliqué au niveau comptable ne donne pas obligatoirement une issue défavorable à la fin de la campagne".
Si l'affrontement contre Tottenham "va nous donner des réponses", "je ne pense pas que ce soit définitif, négatif ou positif pour la suite", a-t-il rappelé.
Toujours dans l'urgence, il est "satisfait" de sa première semaine où il a pu se "connecter au groupe qui a été très réceptif". "J'ai dû apprendre à connaître tout le monde, a-t-il dit. Énormément de meetings, énormément de préparations d'entraînement pour faire entrer le processus et des principes de jeu un peu différents le plus rapidement possible."
A Angers (1-1), il a "vu beaucoup de très bonnes choses", même si il reste "un gros travail physique à faire si on veut aller dans l'intensité et le style de jeu que j'aime prôner". "Le physique amène le mental, le mental, la confiance", a-t-il souligné.