Ancelotti : "Une finale nécessite un bon entraînement, du calme et de la confiance"

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Ancelotti : "Une finale nécessite un bon entraînement, du calme et de la confiance"

Carlo Ancelotti semble serein.
Carlo Ancelotti semble serein.Getty Images via AFP
Le Real Madrid a tenu son Open Media Day à Valdebebas à l'occasion de la finale de la Ligue des champions samedi prochain à Wembley contre le Borussia Dortmund. Ancelotti a répondu aux questions des médias dans la salle de presse.

La finale : "Nous avons toute l'excitation du monde. Une finale nécessite un bon début de semaine, un bon entraînement, du calme, de la confiance. C'est une semaine à savourer. Nous allons en profiter jusqu'à vendredi. Atteindre une finale est toujours un succès, surtout en Ligue des champions. Nous avons beaucoup de confiance et nous allons donner le meilleur de nous-mêmes."

Le statut de favori : "Nous ne pensons pas au fait d'être favoris. Nous devons jouer un match contre un rival qui a mérité d'atteindre la finale parce qu'il a éliminé des équipes de grande qualité. Nous sommes convaincus que nous devrons souffrir et nous battre, comme dans toutes les finales."

La préparation : "Les sueurs froides et la peur arrivent le samedi après-midi, mais je suis déjà prêt. Mon équipe me donne beaucoup de confiance. Ils sont en mode Ligue des champions."

Dortmund : "Leur attitude et leur engagement. C'est une équipe très rapide et en transition. Ce qui m'a le plus frappé lors de ces matches, c'est l'ambition et la lutte, le désir qu'ils ont d'atteindre la finale.

Nous savons très bien qui est le Borussia Dortmund. Ils ont une équipe qui a atteint la finale de la Ligue des champions. Les deux meilleures équipes sont arrivées. Beaucoup sont déjà en vacances et regarderont la finale à la télévision."

La routine du jour du match : "Nous avons une semaine pour nous préparer au match. Nous allons bien nous préparer. La chose la plus importante pour l'équipe est d'avoir une idée claire de ce qu'elle doit faire. Cette semaine, nous devons donner des informations claires aux joueurs. C'est la meilleure façon d'évacuer le stress."

Des rituels ? : "Je ne vais rien faire de particulier. J'ai ma routine et un peu de superstition, parce qu'on m'a appris que ne pas l'avoir porte malheur. Nous sommes conscients d'avoir fait quelque chose de bien et nous devons mettre la cerise sur le gâteau en gagnant samedi."

Huit finales sans défaite : "Ce club est si spécial dans cette compétition parce qu'il a créé son histoire avec cette compétition. Pour tous les madridistes, y compris nous, c'est quelque chose de spécial."

Le mélange entre expérience et jeunesse : "Les vétérans sont un exemple. C'est la génération de l'engagement et de l'attitude positive. Les vétérans ont apporté cela et continuent à le faire. Les vétérans sont moins nombreux, mais il y a des jeunes qui commencent à prendre des responsabilités. Ce changement est très bien mené par le club. De jeunes joueurs sont arrivés et ont très bien compris ce qu'est le Real Madrid."

Le travail mental : "Je ne suis pas psychologue, mais j'ai de l'expérience dans ce domaine. J'ai travaillé pendant de nombreuses années dans des vestiaires et l'important est de traiter les gens avec respect. Ne vous contentez pas de parler de tactique, mais essayez de connaître leurs problèmes personnels. Il n'y aura pas de bonne ambiance si vous ne faites pas du bon travail."

Arda Güler : "Il a montré ses qualités. Il peut être utile pendant le match. Il est sur une belle série de buts. C'est une option pour nous."

Cette Ligue des champions : "C'est une arrivée en finale similaire à celle de 2022. Avec de la souffrance. Nous avons eu une phase de groupe spectaculaire, puis nous avons commencé à avoir des problèmes contre Leipzig. En quart de finale, nous avons affronté la meilleure équipe de la compétition. Je retiens surtout l'entrée en jeu de Joselu en demi-finale."

Kroos : "C'est le dernier match de Toni Kroos. J'espère qu'il pourra terminer avec une Ligue des champions, mais sa carrière ne changera pas avec une Ligue des champions de plus. Il est déjà entré dans l'histoire du Real Madrid et du football."

Un vestiaire uni : "Cette saison, l'attitude et l'engagement ont été la clé pour se sortir des problèmes. Nous avons en tête les blessures de Courtois, Militao, Alaba, les absences de Vinicius, Courtois, Camavinga ? La phrase de Di Stéfano est la meilleure phrase."

Il a privé La Quinta del Buitre d'une victoire en Ligue des champions : "Je ne suis pas redevable à Madrid d'avoir marqué un but. Je vais essayer de faire de mon mieux parce que c'est un club très spécial. Je ne peux pas en dire autant de tous les clubs où j'ai joué. Je suis très attaché à ce club, comme je le suis à Milan."

Le plan de jeu : "Nous devons être prêts à tout. Le Borussia est une équipe redoutable dans les transitions, elle a une unité défensive très compacte et elle est performante dans tous les domaines. Ce sera un match compétitif et celui qui jouera le mieux gagnera."

Courtois titulaire ? : "C'est une décision très difficile à prendre. Je prendrai la décision juste avant le match. L'un jouera et l'autre sera sur le banc."

Son repas d'avant-match : "J'aime manger des brocolis, du saumon et des pâtes. Ensuite, je fais une sieste d'une heure, si j'en ai la possibilité. Ensuite, je ne pense plus qu'au match. Avant le match, le cœur commence à monter jusqu'à 110-120 et, quand le match commence, il revient à son rythme normal."

Vinicius : "Le travail que nous avons fait avec Vinicius a été un travail bien fait. Au talent qu'il a, il a ajouté des choses qu'il n'avait pas, comme la mobilité sans le ballon. Il est plus concentré sur le fait de gagner une nouvelle Ligue des champions avec le Real Madrid que sur les récompenses individuelles."

Égaler le grand Real Madrid des années 50 : "Continuer à gagner la Ligue des champions, c'est une motivation. Il n'y a pas lieu de faire des comparaisons."

Réflexion sur la saison : "Lorsque Courtois s'est blessé, nous avions Andriy et nous avons signé Kepa, qui, bien qu'il n'ait pas beaucoup joué, a beaucoup apporté à l'équipe. Quand Militao s'est blessé, nous avions Rudiger et Nacho. Quand Alaba s'est blessé, nous avions encore un problème. Ils ont tous joué leur rôle et se sont adaptés. Ils n'ont jamais pensé que nous avions un problème."

Florentino Pérez : "Il est très calme avant cet événement, avec beaucoup de confiance. Il nous montre beaucoup d'affection. Passer du temps avec lui avant ces matches est très agréable."

La prolongation de Nacho : "La seule chose qu'il m'a dite, c'est que nous parlerons après la finale. Je lui ai dit de m'appeler au téléphone parce que je serai en vacances."

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