"Qu'est-ce que ça veut dire, 'violence inouïe' ?", questionne Véronique Rabiot, répondant aux propos du président de l'Olympique de Marseille qui avait évoqué un "événement d'une violence inouïe" à propos de l'altercation entre Adrien Rabiot et Jonathan Rowe pour justifier leur placement sur la liste des transferts.
"Personne n'a été blessé, personne n'est allé à l'hôpital, il n'y a pas eu de nez cassé, pas de lèvres fendues, pas de point de suture, donc je ne comprends pas bien. 'Violence inouïe', je n'y crois pas", insiste la mère d'Adrien Rabiot, qui pour autant "ne conteste pas" l'altercation entre les deux joueurs phocéens, son fils non plus.
"Je vais lui laisser la possibilité de raconter lui-même, promet-elle. Ce qui m'étonne, c'est qu'on sait que dans le vestiaire, il y avait le coach et Monsieur Benatia (le directeur sportif de l'OM). Comment on peut imaginer qu'il y ait une altercation d'une violence inouïe et que personne n'intervienne ? Je n'y crois pas, et personne n'y croit de toute façon."