L'état d'esprit : "Je répète ce que j'ai déjà dit au cours des dernières semaines : nous sommes virtuellement champions mais le championnat ne se terminera pas demain. Il y a plusieurs records à battre, ça nous permettrait de mieux préparer les autres échéances. On va essayer d'être le plus compétitif possible."
Beraldo : "Vous verrez pour Beraldo. Je ne vais pas donner ma composition. Les joueurs sont prêts.
Sur la situation de Beraldo, c'est ce qui se passe avec tous les joueurs. Il peut avoir des problèmes au long des matchs, il n'y a pas d'exception. Il s'est adapté dès sa première minute à Paris, il a toujours joué à un très haut niveau. J'ai une confiance absolue en lui, avec le ballon, mais aussi sa personnalité, sa tranquillité.
Je prends les décisions en fonction des joueurs qui sont le mieux préparés. Ça ne veut pas dire que les autres ne le sont pas. Les choses sont plus complexes. Beaucoup de joueurs participent, c'est notre objectif. J'essaie de tirer le meilleur de chacun de mes joueurs."
Le titre : "Bien sûr que nous allons fêter le titre, avec nos supporters à la fin du match, si on peut le faire demain. C'est une grande motivation. Virtuellement, ça fait déjà quelques semaines que nous sommes champions. On veut être performant pour battre les records."
Ramos : "Ramos est un joueur performant. Le ratio but/minute a été exceptionnel, c'est ce qu'on peut demander d'un joueur du plus haut niveau. On ne peut que souligner son niveau, je suis ravi de l'avoir."
Mondial des clubs : "C'est un format attirant qui va être intéressant pour les supporters."
Doué : "Vous avez beaucoup parlé de Doué récemment. Ce que vous dites est différent désormais, je ne l'ai jamais critiqué. C'est un joueur très intelligent, surtout pour son âge. Je ne peux pas faire de classement en Europe, je ne connais pas assez les autres joueurs."
Luis Campos : "J'aimerais que Luis Campos continue au club, j'ai commencé avec lui, j'aimerais finir avec lui."
Son évolution : "Les projets sont toujours différents. On met en place une idée, les joueurs doivent l'appréhender. Il faut s'adapter aussi aux profils des joueurs. L'évolution, en tant qu'entraîneur, c'est de trouver des mécanismes d'amélioration. On se pose des questions, on essaie de trouver des solutions. Je ne sais pas ce qui a changé pour moi."
Dembélé : "Nous avons tellement parlé de Dembélé. Je parlais l'an dernier de la merveille qu'il était pour moi, sans les chiffres qu'il a actuellement. N'importe quel supporter serait prêt à payer son billet pour le voir jouer. Il a une capacité à tirer des deux pieds, il y a ses feintes aussi… C'est un joueur qui joue à merveille, c'est une très belle évolution d'un joueur qui était déjà très fort."
Unai Emery : "Emery est un top entraîneur, il l'a déjà montré avec plusieurs équipes. Nous savons quel type d'adversaire nous allons affronter. C'est une équipe encore plus complète que l'an dernier. Ils ne vont pas gagner le match parce que Emery me connaît bien ou vice-versa."
Invincibilité : "Il y a des records qui ne m'intéressaient pas jusqu'à aujourd'hui. Maintenant, il y a l'idée d'être invaincu cette saison par exemple. Cela va nous permettre de mieux nous préparer pour le reste."
La rotation : "Je suis toujours optimiste, on peut toujours s'améliorer. Individuellement et collectivement. On change des choses, un sport collectif, c'est très difficile le niveau optimal. Quand on prépare la saison, on planifie aussi le fait de s'adapter. On m'a critiqué parce que j'ai fait tourner, mais ça a porté ses fruits."
Les corners : "Tous les clubs encaissent des buts. Contre Dunkerque, ce n'est pas préoccupant. Il y a des tas de situations, qu'on essaie de contrôler. On ne défend pas e manière sensationnelle sur les coups de pied arrêtés. Je préfère avoir une équipe offensive, qui peut être très bonne à l'extérieur. On peut souffrir sur les corners, c'est vrai. Mais les joueurs de 1,90m ne peuvent pas jouer comme Vitinha non plus. Cela a été une constante durant ma carrière d'entraîneur."