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Luis Enrique est "convaincu" que Dembélé "peut encore améliorer ses performances"

Luis Enrique face à la presse ce jeudi.
Luis Enrique face à la presse ce jeudi.FRANCK FIFE/AFP
Luis Enrique s'est présenté en conférence de presse, ce jeudi, à la veille de la première réception de la saison au Parc des Princes, face à Angers.

Chevalier : "Pour être honnête je pense que je dois parler en espagnol. C'est très facile. Un style qui colle à notre équipe, dans la continuité. Qu'il peut prendre des décisions en fonction de nos adversaires. Au niveau mental, qu'il ait aussi une bonne vision générale du terrain."

Les adversaires en Ligue 1 : "Je pense que c'est l'habitude. On a vu ça il y a deux ans l'année dernière, et je pense que ça sera la même chose. On est habitués à jouer contre des blocs bas. C'est toujours difficile. Tu n'as pas le temps de penser, de réaliser ton action. Mais on est habitués. C'est la phase de jeu que nous connaissons le plus."

Le retour au Parc des Princes : "Le stade nous a manqué beaucoup, et nos supporters aussi. C'est toujours super de jouer au Parc, c'est une ambiance tellement différente. On a joué les 10 derniers matchs à l'extérieur, c'est le moment de profiter de nos supporters. On veut jouer à notre meilleur niveau. On va préparer bien le match."

Le mercato : "Notre obligation est de rester ouverts jusqu'à la fin du mercato. On est contents de nos recrus, mais on reste prêts quelle que soit la situation."

L'état d'esprit de la reprise : "Le feeling avec le ballon, c'est pareil que quand tu fais ta première interview après les vacances. Après trois semaines sans toucher le ballon, la première semaine, c'est... je me souviens en tant que joueur, c'est toujours différent. Contre Angers, ça va être difficile. On doit être lucides, on doit être prêts."

Les remplaçants : "C'est particulièrement important ces premières semaines mais ça a été une constante pendant la saison dernière. On est habitués de voir les joueurs qui entrent en jeu être importants. Pour moi, c'est une qualité de notre équipe."

La relation Safonov/Zabarnyi : "Le sport et particulièrement le football est la meilleure des manières pour avoir la capacité d'inclure des personnes et de faire de l'union, et non de la séparation. Le sport et les personnes sont au-delà des compromis politiques ou des intérêts économiques des politiciens."

Le départ de Donnarumma : "Ce sont des décisions toujours difficiles à prendre. Je n'ai aucun problème à la prendre, mais je n'expliquerai rien sur des joueurs qui sont au PSG. Ça ne m'intéresse pas. Je peux comprendre les critiques sur notre et ma décision. Mais on est calmes, on est tranquilles. On sait où on veut aller et c'est le plus important pour moi."

Dembélé : "Pour Ousmane, ça va être un challenge car l'année dernière a été extraordinaire mais je suis convaincu qu'il peut encore améliorer ses performances. C'est un joueur très important, il a les qualités offensives et défensives, il a toujours le sourire. J'espère que cette année sera encore meilleure pour lui et l'équipe."

Tirer de loin : "Plus d'une nouveauté technique, c'est une des solutions que tu dois chercher quand tu fais face à un bloc bas. Je suis content d'avoir des joueurs avec cette qualité à tirer de loin."

Une superstition personnelle : "Non. Je ne fais rien avec la superstition. Je suis fier de mon travail. Le reste, rien. Comme joueur, j'étais un peu superstitieux, mais pas en tant qu'entraîneur. Pour moi, c'est facile. Si un joueur pendant les entraînements joue à un très haut niveau, alors il mérite de jouer. Peu importe l'âge, sa nationalité, rien."

Son effectif : "Ce que nous pouvons ajouter, c'est travailler sur les choses que nous pensons seront importantes pendant le match. On doit avoir une structure pour attaquer de la meilleure des manières et être bonne dans le pressing. Avant les matchs, on sait plus ou moins quelles seront les actions. Mais on doit voir comment sont les joueurs car ce ne sont pas les machines. Ça dépend de chaque match."

Les changements récents : "C'est mon travail, le travail de l'équipe, du club. Il doit être prêt pour être imprévisible, être différent, avoir plus d'options. C'est pour ça qu'on prend des décisions. C'est pour ça qu'on continue à signer des joueurs. Mais ce n'est pas une chose publique."