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Lille - Marseille (1-1) : les notes de la rédaction de Flashscore France

Adrien Rabiot, le patron de la rencontre de LOSC-OM.
Adrien Rabiot, le patron de la rencontre de LOSC-OM.Laurent SANSON / PsnewZ / PsnewZ / Profimedia

Lille et Marseille se sont neutralisés à Pierre-Mauroy dimanche lors de la 32e journée de Ligue 1 (1-1). Adrien Rabiot a régalé, tandis que Lucas Chevalier a dégouté l'OM : voici les notes de la rédaction de Flashscore France.

Lille 

Chevalier (8) - Meunier (6), Mandi (6), Alexsandro (5), Ismaily (5) - Bentaleb (6), André (6) - Fernandez-Pardo (7), Akpom (3), Haraldsson (5) - David (5).

Marseille 

Rulli (3) - Murillo (7), Balerdi (7), Kondogbia (6), Garcia (6) - Höjbjerg (7), Rabiot (8), Bennacer (4) - Greenwood (5), Gouiri (7), Luis Henrique (4).

MVP : Lucas Chevalier  

Et si le portier du LOSC était tout simplement le meilleur gardien du championnat ? Chevalier a permis à Lille de rester dans le match grâce à deux arrêts décisifs devant Murillo et Rabiot. Sur le but de Gouiri, il ne peut rien faire, mais grâce au travail réalisé juste avant, les Lillois sont parvenus à arracher le nul. 

Le Patron : Adrien Rabiot

Vous voulez un synonyme d'Adrien Rabiot ? Patron ! L'international français a régalé son club et ses supporters ce dimanche soir à Pierre-Mauroy, se montrant important à l'effort défensif comme dans les situations offensives. Il aurait pu ouvrir le score en début de seconde période, mais Chevalier s'est interposé. Derrière, il offrira un caviar à Gouiri, qui la mettra au fond.

Bonne Surprise : Mathias Fernandez-Pardo

Le jeune joueur du LOSC n'a pas tremblé face à Rulli lorsqu'il a eu son opportunité. Son but a permis à Lille de gratter un point non négligeable dans la course à la C1. Que du benef' pour les Lillois. 

La Déception : Gerónimo Rulli

L'OM était en train de réaliser le coup de la journée, mais Rulli en a décidé autrement. Une relance calamiteuse de son camp a permis à Lille d'égaliser, but qui a fait perdre 2 points aux Marseillais. Mais, dans le fond, est-ce vraiment sa faute, connaissant les consignes de Roberto De Zerbi ? L'Italien demande absolument de ressortir court et au sol, de derrière, alors que, parfois, un bon vieux dégagement permet de faire souffler le bloc équipe.