Brest - Montpellier
Le Stade Brestois a désormais un statut à défendre à l'heure d'entamer la phase retour. 4ᵉ de Ligue 1, l'équipe emmenée par Eric Roy reçoit le MHSC de Michel Der Zakarian. Fin-novembre, lors du match à la Mosson, les Bretons s'étaient imposés 3-1 et il y a de fortes chances que ce scénario se reproduise.
Seul le PSG est parvenu à repartir de Francis-Le-Blé avec les trois points. Le défi s'annonce très difficile pour les Héraultais qui sont encore loin d'être maintenus. Néanmoins, ce n'est pas ce genre de matches qui comptera le plus d'ici la fin du championnat, alors la pression n'est certainement pas du côté des visiteurs.
Metz - Toulouse
Peut-être le match de la peur de ce week-end et il n'est pas facile de reprendre le chemin du travail par une telle rencontre. Oui, les Messins et les Toulousains ont déjà joué en 2024 - avec plus ou moins de succès -, mais la reprise de la L1 est bien plus capitale pour les deux formations. Car, la phase aller n'a pas été de tout repos et celle retour risque d'être mouvementée jusqu'au bout des 34 journées.
Ce dimanche, Metz (14ᵉ) et Toulouse (16ᵉ) n'ont pas le choix et doivent gagner pour empocher trois points en vue du maintien. Privés de certains joueurs à cause de la Coupe d'Afrique des nations 2024, les deux collectifs vont, en plus, arriver relativement amoindris.
Nantes - Clermont
Aucune victoire en championnat depuis celle acquise contre Nice à la Beaujoire début-décembre (1-0), Nantes est sur une mauvaise série et va devoir se servir de cette réception de la lanterne rouge pour prendre les trois points. En effet, Clermont n'est pas encore largué au classement, mais la situation n'est plus vraiment sous contrôle du côté des Auvergnats. Pascal Gastien n'a plus fait gagner ses hommes depuis le succès contre Lorient (1-0) début-novembre.
À l'extérieur, il faut remonter à fin-octobre et la victoire à Lyon (2-1). Le CF63 est donc condamné à l'exploit, mais le maintien se jouera à l'occasion de ce genre de rencontres. Sept petits points séparent les deux formations, c'est-à-dire presque rien alors qu'il reste toute une moitié de saison.
