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"Je ne sais pas quand Kvaratskhelia va commencer à jouer" affirme Luis Enrique

Luis Enrique en conférence de presse cette semaine.
Luis Enrique en conférence de presse cette semaine.JEAN CATUFFE/DPPI via AFP
À la veille de la réception du Stade de Reims, Luis Enrique s'est exprimé en conférence de presse au Campus PSG.

La gestion du groupe : "Tout scénario après un match de Ligue des champions est toujours différent. Il faut aborder un match contre une équipe (Reims) qui nous a toujours posé des difficultés. C'est une grande joie pour les supporters, mais on revient en L1. Nous n'avons pas eu un match facile en L1, c'est toujours très difficile. En 2025, il n'y a pas eu un match facile que ce soir en coupe ou demain. Il faut préparer le match de manière sérieuse."

Kvaratskhelia : "Quand on achète un joueur, c'est que l'on croit qu'il va améliorer l'équipe. Je ne sais pas quand il va commencer à jouer, ça dépend des entraînements. C'est très difficile en raison du niveau de l'équipe. Quand est-ce qu'il va commencer à jouer ? Ce n'est pas important, ce qui l'est, c'est qu'il soit dans une dynamique avec nous. Physiquement il est très bien. Nous l'avons vu sans problème aux entraînements. Il est prêt.

Ses caractéristiques sont adaptables à notre style de jeu. On cherche les qualités innées du joueur pour les améliorer. Être le plus souvent possible devant le but, être dans une situation de tirs, mais aussi se connecter avec tel joueur et créer des synergies. Je pense que ce qu'il va apporter à l'équipe est positif."

Manchester City : "Quand nous avons perdu contre l'Atlético ou Arsenal, nous sommes sur le bon chemin. Cette victoire était spéciale, c'était très bien pour les jeunes joueurs, qu'ils voient qu'ils peuvent jouer au très haut niveau. Il y aura d'autres victoires, des défaites aussi, mais en termes de confiance, c'est extrêmement positif."

L'intégration des joueurs : "Nous sommes une équipe jeune qui a déjà gagné un an d'expérience, Ceux qui sont arrivés doivent cumuler cette expérience."

Les conséquences de City : "Mon entourage, mes amis, ma famille ne me critiquent pas et ne me font pas d'éloge. Ils souffrent avec moi quand on perd et sont heureux quand on gagne. J'accepte les critiques, Il y a en toujours dans les grandes équipes."

Kvaratskhelia-Barcola : "Il y a sept joueurs à l'avant avec qui je peux faire des combinaisons. Il faut voir les synergies, ce qu'il apporte à l'équipe en attaque et en défense."

Sa responsabilité : "Le meilleur, c'est la joie. On peut gagner, on peut perdre, mais la meilleure sensation, c'est la joie autour de nous. C'est pour ça qu'on veut travailler dans le foot. J'ai le même pourcentage de responsabilité que pour une victoire."

Ses méthodes : "Je le fais à ma manière en fonction de ce que je ressens, des fois, c'est individualisé ou c'est global. Aujourd'hui, nous avons fait une réunion avec un seul joueur pour expliquer notre style de jeu, ce qu'on veut faire. Des fois, c'est une vidéo avec le groupe. Il n'y a pas de plan. On veut transmettre nos messages, mais il n'y a rien de différent de ce que font les autres entraîneurs."

Le travail vidéo : "J'ai revu le match une seule fois, mais j'ai pris trois, quatre ou cinq heures. C'est quelque chose de complet. De joueurs qui démarrent, sept ou huit sont à un très haut niveau et un ou deux sont peut-être en dessous de leur niveau. Nous sommes une équipe, on ne dépend pas que d'un joueur. Il y a des joueurs sur le banc qui peuvent améliorer l'équipe. J'aime beaucoup ce que je vois aux entraînements, en compétition. Il faut continuer sur cette ligne, il faut donner le max."