Les absences : "Kondogbia et Traoré encore besoin d'un peu de temps, Medina va encore manquer plusieurs matchs. Gouiri ne sera pas là demain. Je n'ai pas encore vu Murillo, Rulli, Bamerdi et Aguerd à l'entraînement mais j'ai l'impression que tout le monde va bien. Ceux qui sont restés avec moi ont bien travaillé. On doit repartir."
La dynamique : "C'est le mérite des joueurs. La dernière période a été très belle, septembre a été un très beau mois, je me suis amusé, il y avait une belle atmosphère. Il faut repartir de la meilleure des manières comme on a conclu le cycle."
L'état d'esprit : "C'est déjà un leader de l'équipe comme Aguerd, Emerson, ou O'Riley. Ce sont des joueurs forts, bons, positifs, intelligents. À Metz, on a fait un match plus mature. On est resté concentré. C'est positif d'avoir autant de joueurs bons et mentalement aussi."
Pavard : "On a bien parlé de sa position. Généralement, on défend à quatre, mais à trois quand on a le ballon. Il peut défendre comme arrière ou défenseur central en fonction du match. On a sept matchs, on aura l'occasion de voir jouer à ces différentes positions."
Aguerd : "C'est un joueur comme Pavard ou Emerson. Medhi Benatia m'en a parlé quand on était dans l'avion pour Miami et j'avais hâte d'atterrir pour lui dire de le contacter et de conclure l'accord rapidement. Depuis que je l'entraîne, je le trouve plus fort qu'en vidéo. Il s'est bien intégré rapidement. Il comprend ce qu'il doit faire avant que les choses lui soient dites."
La reprise : "Ce n'est pas difficile, la trêve m'agace parce que je suis prêt à jouer tous les matchs. Mais les sélections sont importantes. L'idée est de repartir comme on a fini en étant convaincu que le jeu est la meilleure manière d'avoir des résultats. Je vais continuer le turn-over par obligation et parce que je peux me le permettre. On a un effectif large avec de très bons joueurs."
Le match : "On peut allonger notre série de victoires en championnat et rester en haut du classement en considérant que le PSG et Strasbourg s'affrontent, tout comme Nice et Lyon."
Le Havre : "Soit le match est très fermé, soit tu affrontes une équipe qui joue haut et veut garder le ballon. La première mi-temps contre l'Ajax et celle contre Metz sont complètement différentes. On veut aller droit au but si les conditions sont là. Si les positions sont basses, il faut jouer en combinaison, être plus fort au niveau des couloirs. Face à une équipe qui joue haut, c'est plus difficile de sortir mais une fois que tu sors, tu as beaucoup plus d'espace."
De Lange : "C'est possible que ce soit De Lange. Peut-être, on verra."
La préparation psychologique : "Il faut retrouver la bonne fréquence au Vélodrome, la victoire. Préparer de nouveau ces six matchs avant la trêve contre Brest. On veut aussi arriver à Lisbonne de la meilleure des manières."
Le titre : "Je n'ai pas l'impression qu'on ait parlé de titre l'an dernier. Pourquoi les joueurs n'en parlent pas ? Parce qu'ils n'en rêvent pas ou pour une autre raison ? Ils n'en parlent pas de manière ouverte parce qu'une équipe (le PSG) a dominé entièrement le championnat, ils ont aussi dominé en Europe et sont arrivés en finale de la Coupe du monde des clubs. Leur niveau est très, très élevé. Le rêver est quelque chose d'autre. On en rêve tous mais le dire… C'est un peu vendre quelque chose qui n'est pas concret. On essaie de faire tout pour arriver au bout et peut-être remporter plus qu'un titre. On est tous capables de tenir des mots mais il faut des faits. On ne doit pas en parler et continuer ce qu'on a fait ces derniers mois."