"Lorsque Greenwood a signé alors qu'il avait tapé sa femme, De Zerbi a dit qu'on pouvait lui donner une seconde chance. Je suis d'accord pour donner des secondes chances aux gens, mais il n'y aurait que mon fils qui n'aurait pas droit à une seconde chance ?", a-t-elle notamment déclaré dans une interview pour La Provence.
Après être intervenu publiquement cette semaine, Véronique Rabiot a décidé de donner sa version des faits dans l'édition du jour du quotidien régional.
"Je croyais qu'on avait vécu le pire avec le PSG. Mais non, il y a encore plus fort... Ils sont vraiment à jamais les premiers", a-t-elle affirmé. Peu tendre avec le club phocéen, elle a ouvertement critiqué les dirigeants, dont l'entraîneur Roberto De Zerbi.
"Ça m'a choqué (son embrouille avec Emery en préparation, ndlr). Là, il a respecté le club ? Un entraîneur ne doit pas le faire. On en a parlé, il a été sanctionné ? Non. Monsieur Longoria a été sanctionné quand il a dit 'corruption, corruption' ? Non. Si on veut vraiment que les joueurs soient exemplaires, il faut être soi-même exemplaire. On ne peut pas demander aux autres ce qu'on n'est pas capable de faire. C'est un principe d'éducation."
"Le coach qui n'a jamais vu ça, alors qu'il est toujours en train d'hurler, d'aboyer… Et là il était choqué ?", la fracture semble être définitive alors qu'Adrien Rabiot pourrait prendre la parole dans les prochaines heures.
Véronique Rabiot a par ailleurs spécifié que son fils s'entraînait toujours à part avec Jonathan Rowe : "c'est fantastique", a-t-elle ironisé.