L'entraîneur du Real Madrid s'est adressé à la presse avant le match de samedi (21h00) contre Villarreal au Santiago Bernabéu.
Le match de demain : "Nous jouons à nouveau à domicile, contre une équipe en forme. Nous devons jouer à un haut niveau, car c'est un match important, le dernier avant la trêve."
Gestion des internationaux : "Normalement, ce sont les joueurs qui nous donnent les informations. J'essaie de collaborer avec les entraîneurs. Les préparateurs physiques ont plus de contacts pour gérer les charges."
Valverde : "Il est prêt. Nous savons à quel point Fede est important pour l'équipe."
La rotation : "Nous avons la chance de passer beaucoup de temps ensemble et de pouvoir beaucoup parler. J'ai le sentiment que l'équipe est la chose la plus importante et que chacun aura son moment."
Les demandes des joueurs : "Aucun joueur ne m'a jamais dit qu'il ne voulait pas jouer à un poste. Ils veulent tous être sur le terrain et ont de bonnes prédispositions. C'est à moi de décider."
Qu'attendez-vous des supporters après le derbi : "Je veux que nous jouions bien, en équipe. Je ne demande rien aux supporters."
Colère face aux changements : "Nous sommes très proches pour préparer les matches, fêter les victoires et déplorer les défaites. Je sais où je me situe, mais j'essaie d'être proche des joueurs."
Importance de la critique : "J'essaie de donner de l'importance à ce que je peux changer. Ce qui vient de l'extérieur ne me touche pas ou peu. Pour être honnête, je ne m'épuise pas trop."
Gestion des gardiens : "Lunin doit toujours être prêt, même si nous avons un grand gardien comme Thibaut. En décembre, nous commencerons la Coupe et nous verrons quelle décision nous prendrons."
Bellingham : "Tuchel lui a déjà dit qu'il ne partirait pas. Je suis sûr qu'il sera au prochain match. C'est un joueur fondamental. Ce n'est qu'une question de temps avant qu'il ne soit à son meilleur niveau."
Endrick : "Il s'entraîne bien depuis trois semaines et c'est le contexte du match qui l'aide à entrer en jeu. Il a un but. Il y a beaucoup de concurrence maintenant. Le moment viendra."
Güler et Bellingham : "Ils peuvent se compléter, nous devons voir comment les pièces s'assemblent. Il faut qu'ils soient à l'aise et qu'il y ait de la fluidité."