La faible participation de Brahim Díaz – 106 minutes en six matches, quatre apparitions à la Coupe du monde des clubs – a suscité des doutes quant à la possibilité que l'Andalou quitte le Real Madrid. Mais le joueur a tenu à préciser qu'il ne pensait pas à autre chose qu'à continuer dans le club avec lequel il a remporté la Ligue des champions 2024.
Et, comme l'a appris Flashscore Espagne, qui confirme que les paroles du N°21 n'ont pas été prononcées à la légère, l'international marocain a toute confiance et enthousiasme pour gagner une place sous les ordres de Xabi Alonso.
Et si le faible nombre de minutes jouées à la Coupe du monde des clubs peut laisser penser que le technicien espagnol ne fait pas entièrement confiance au Malagueño, il convient d'explorer les nuances et la raison de ce manque d'importance.
En effet, Brahim est arrivé aux États-Unis tout juste remis d'une blessure qui l'a empêché de participer aux derniers matches du Maroc contre la Tunisie et le Bénin. Il a donc débuté en tant que remplaçant dans une compétition où il se devait d'être à son meilleur niveau dès le début.
Cependant, lors du premier match de la Coupe du monde, il s'est bien comporté et lors du deuxième match, il a aidé Fede Valverde à marquer le troisième but contre Pachuca. Un ratio minutes/qualité plus qu'acceptable, qui donne de l'espoir pour la saison prochaine.
L'ère du renouveau
Loin d'être démotivé par le manque d'opportunités en Amérique du Nord, le jeune homme reste très motivé et désireux de prolonger son contrat avec les Merengues, sachant que celui-ci expire le 30 juin 2027.
Selon plusieurs médias, et comme Flashscore a pu le confirmer, la prolongation du contrat de l'habile milieu de terrain (au moins jusqu'en 2030) est pratiquement acquis depuis un certain temps, ce qui signifie que Brahim devrait rester un Madridista un certain encore.
Même si la concurrence sera rude, avec la progression d'Arda Güler (20 ans) et l'arrivée de Franco Mastantuono, un départ présumé de Rodrygo (24 ans), dont l'avenir n'est pas encore connu, ouvrirait la porte au Malagueño, qui n'a pas l'intention de se laisser faire.
