Rayan Cherki : "Il a la capacité de pouvoir faire des différences. Il peut passer et inscrire des buts. Cela dépend aussi de la zone où il évolue. Aujourd'hui, on ne peut pas se permettre de jouer sans qu'un joueur n'ait pas le ballon. Il peut rentrer et faire la différence, on n'a pas toujours eu ça. Donc c'est bien. Il a eu sa blessure, ça a mis du temps pour qu'il revienne. Il a fait trois matchs, il change d'environnement, d'équipe, mais il est capable d'être décisif dès le début. Dans l'absolu, quand on est un joueur technique comme lui, il y a un avantage."
La qualification ou des éléments futurs : "Tous les matchs servent. Il y en a certains qui marquent pour différentes raisons. Après les quatre derniers (même si, c'était impossible d'être qualifié), on a pris 10 points. Nous avons conscience de l'importance du match de demain. Les quatre d'avant permettent d'arriver là. Il y aura des éléments qui nous serviront. Mais, parmi les joueurs, il y a encore beaucoup d'absents. Les absences ne permettent pas de répéter des choses et trouver des automatismes. Ceux qui sont là font partie du groupe de qualifications. Après, il y aura quatre mois avant mars."
Bradley Barcola : "Il va bien. En début d'année, il était très bien, il avait moins joué en club. Là, il a une période intense en disputant 6 matchs en 15 jours. Il n'est pas rentré au dernier match contre Lyon. Il a de bonnes sensations. C'est un élément important. Il y a de l'accumulation pour tous les joueurs, et cela engendre la fatigue. On a fait de la récupération."
Aucun entraîneur en Ligue des champions : "Je trouve que l'entraîneur français n'est pas assez valorisé, déjà en France. Donc à l'étranger oui, il y en a de moins en moins. Est-ce qu'ils sont moins bons ? Je ne pense pas. En Ligue 1 et en Ligue 2, les postes sont déjà occupés par les étrangers. Je suis déçu de cette situation. Il y a beaucoup d'entraîneurs français qui ont les capacités, mais ne sont pas sollicités.
Commémorations : "Il y en a peu qui étaient là quand c'est arrivé. Le staff était là. Ça fait partie du contexte. On a un match important."
Eduardo Camavinga : "Il veut mieux faire. Mais, il sort de six mois sans jouer avec le Real Madrid. Il a plus joué en deux semaines que lors des six derniers mois. Il a beaucoup de qualités. Il n'est pas épargné physiquement. S'il l'était, il aurait plus de continuité."
Qualifications multiples en phases finales : "Ce n'est pas spécial. Le plus important, c'est demain. Les statistiques sont là. L'accumulation des qualifications est une très bonne chose. Cela aide d'avoir ce vécu. Mais, je n'ai pas cela à l'esprit. C'est au Parc. C'est l'Ukraine. On est en 2025, et l'objectif est là. Il faut tout faire pour obtenir une nouvelle qualification. J'y suis, je prends du plaisir, il faut apprécier chaque moment. Les préparations sont décisives. Il y a plus ou moins d'importance, mais il faut gérer le moment présent et l'apprécier. Je n'ai jamais été très rétro, l'histoire, elle est à écrire demain."
N'Golo Kanté : "Il va bien, il a le sourire. Quand il est dans une équipe, ceux d'en face savent pourquoi. Il maintient son niveau. Il a plus de matchs cette saison parce que son club joue la Ligue des champions d'Asie. En plus de ses qualités, il a vécu des expériences importantes pour ce type de rendez-vous."
