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Paris Saint-Germain - Inter Miami (4-0) : les notes de la rédaction de Flashscore France

Le milieu du PSG clinique ce soir.
Le milieu du PSG clinique ce soir.Harry How / GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Getty Images via AFP
Retrouvez les notes de la rédaction de Flashscore France pour le 8ème de finale de la Coupe du monde des clubs entre le Paris Saint-Germain et l'Inter Miami, au Mercedes-Benz Stadium d'Atlanta.

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Les notes du Paris Saint-Germain

Donnarumma 5, Hakimi 7, Marquinhos 6, Pacho 6, Nuno Mendes 6, João Neves 8, Vitinha 8, Fabián Ruiz 7, Doué 6, Kvaratskhelia 7, Barcola 6.

Les notes de l'Inter Miami

Ustari 4, Weigandt 3, Falcon 2, Allen (non noté, remplacé par Tomás Avilés 2), Alba 3, Segovia 5, Busquets 4, Redondo 4, Allende 3, Suárez 2, Messi 5.

Le MVP : João Neves

Indiscutablement. Et ce n'est pas seulement parce qu'il a signé un doublé, enfin pas seulement. Royal dans la distribution, véritable machine à laver, il permet au PSG d'avoir une assise incroyable au milieu. Et il n'a eu besoin que de 45 minutes pour le prouver. Sans compter, bien sûr, ses deux réalisations pour faire parler un sens du but surprenant. Une machine. 

Le patron : Vitinha

On commence gentiment à manquer de superlatifs pour le milieu portugais. Une galette sur coup-franc pour commencer son match sur des bases élevées. Des efforts défensifs incessants, des retours de 50 mètres en arrière quand son équipe en avait besoin, une activité incessante, pratiquement que des bons choix : incontournable. 

La bonne surprise : la facilité parisienne

Visiblement, le PSG avait caché son jeu en poules. La défaite contre Botafogo pouvait inquiéter, le match contre Seattle avait été disputé à l'économie : les Parisiens ont remis les pendules à l'heure alors qu'on les pensait sur la pente descendante, en particulier physiquement. De très bon augure pour la suite. 

La déception : Miami

On a souvent du mal à estimer le niveau réel des clubs de Major League Soccer, et cette compétition devait servir à le vérifier. Malgré la présence de Leo Messi (très peu en vue, comme le reste de son équipe), Miami n'a jamais prouvé quoi que ce soit pour laisser penser qu'il était à la hauteur. Le tout sur fond d'une attitude nonchalante au possible : visiblement, l'Inter Miami était au courant de sa défaite avant le match, et n'a fait que donner le change après la pause pour faire plaisir à son public. Triste. 

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