Tout comme on peut se demander ce que serait Lamine Yamal si Dembélé n'était pas parti au PSG, on peut légitimement se demander ce que serait la situation de Gonzalo Garcia dans cette Coupe du monde des clubs sans l'absence de Mbappé. Mais c'est ça le football, être prêt quand l'occasion se présente. Et c'est là que le nom de chacun entre en jeu.
Il se trouve que le jeune joueur du Real Madrid, par son émergence et la manière dont il l'a fait, est inévitablement associé à deux autres Madridistas : Raúl González, dont l'opportunisme en tant qu'attaquant rejoint celui de Joselu Mato, dont le profil manque à l'équipe de Xabi Alonso. Et un lien très évident dans les trois cas : le madridismo. Même le fait qu'ils soient connus par leurs prénoms les unit.
Le natif de Boadilla prend bien les comparaisons et en est reconnaissant, même si, par politesse, son message est logique : ce qui l'intéresse, c'est d'écrire son propre nom. Car ce n'est pas seulement qu'il fait la différence dans cette Coupe du monde des clubs, c'est qu'il est déjà unique dans la compétition.
Car personne ne peut se vanter de ce qu'il a fait : être décisif lors des quatre matches qu'il a disputés dans le tournoi. Un but contre Al-Hilal, Salzbourg et la Juventus et une passe décisive contre Pachuca. Michael Olise a marqué un but de plus, bien que ses statistiques soient gonflées par la victoire 10-0 contre Auckland.
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