PSG
Donnarumma (7) - Hakimi (7), Marquinhos (7), Pacho (7), Mendes (7) - Vitinha (8), Ruiz (8), Neves (7) - Doué (6), Ramos (6), Kvaratskhelia (7)
Entraîneur : Luis Enrique (7)
Remplaçants : Mayulu (7), Lee (7), Zaïre-Emery (-)
Atlético de Madrid
Oblak (3) - Llorente (3), Le Normand (3), Lenglet (2), Galan (3) - De Paul (3), Barrios (3), Giuliano (5), Lino (3) - Griezmann (2), Alvarez (5)
Entraîneur : Diego Simeone (1)
Remplaçants : Koke (3), Correa (3), Reinildo (3), Gallagher (-), Sorloth (3)
Le MVP : Fabian Ruiz
Si Vitinha est le génie de l'ombre, Fabian Ruiz, lui, est l'homme de l'ombre. Celui qui récupère, libère des espaces à ses coéquipiers sur une course et sans toucher le ballon et marque des buts. L'Espagnol, qui a été partout en première période, a mis dans les meilleures conditions ses coéquipiers en ouvrant le score pour Paris. L'ancien de Naples régale à sa manière et les supporters qui le décriaient il y a quelques années, sont aujourd'hui à ses pieds.
Le Patron : Vitinha
À l'instar d'un Rodri à Manchester City durant ses meilleurs jours, Vitinha est le génie de l'ombre de ce Paris Saint-Germain. Et après avoir tout remporté avec Paris et le Portugal en 2024-2025, il mériterait la même consécration au mois de septembre prochain que le génie espagnol. Imaginez la saison si le club de la capitale remporte la Coupe du monde des clubs… Problème, les vents (et les propagandes) ne vont malheureusement pas dans son sens. Mais ce n'est pas grave, le natif de Santo Tirso continue de nous régaler match après match. Un véritable crack.
La Bonne surprise : Le PSG sous le soleil californien
On ne savait pas comment cette équipe allait répondre aux températures extrêmes de la Californie, mais, finalement, tout s'est passé comme d'habitude. C'était un PSG dominateur, avec le ballon, en contrôle des temps forts et temps faibles, et avec plus d'intensité en première mi-temps, puis de la gestion en deuxième période. Paris, qui a pris les trois points les plus compliqués de sa poule, devrait finir premier assez facilement.
La déception : Diego Simeone
Le cow-boy de Buenos Aires a encore frappé : un plan de jeu d'anarchiste, des choix tactiques de comploteur et des consignes "in-game" de boutefeu. Oui, Diego Simeone a encore fait des siennes, mais ça ne changera rien. Ses sectaires continueront de citer sa leçon par cœur : "le club du peuple, impossible de lutter contre les gros, on se fait voler par l'arbitre, etc". Ses applaudissements en direction des tribunes présidentielles après le but refusé à l'Atlético ne nous auront pas non plus. On l'aura compris, ce n'est jamais sa faute.
La réalité est totalement opposée à un discours qui était valable en 2014. L'Argentin est l'entraîneur le mieux payé au monde, l'Atlético a lâché 200M sur le marché des transferts en 2024 et l'équipe joue toujours comme un club espagnol des années 80 de bas de tableau. Leur première frappe est arrivée à la 46ᵉ minute, ce qui a provoqué derrière le deuxième but du PSG, car les joueurs sont incapables de défendre quand ils s'exposent. Avant ça et après ça, partition de coups, tacles, baffes et pleurnicheries auprès de l'arbitre : vive l'Atlético de Diego Simeone. La FIFA et Infantino auraient dû inventer l'une de leur formule magique – comme avec l'Inter Miami – pour donner leur place au Barça et à Lamine Yamal.
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