Exclusivité/Flashscore - Adam Hložek : "Xabi Alonso est une légende"

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Exclusivité/Flashscore - Adam Hložek : "Xabi Alonso est une légende"
Adam Hložek a exprimé sa joie après son but marqué face à Bochum cette semaine.
Adam Hložek a exprimé sa joie après son but marqué face à Bochum cette semaine.Profimedia
Leverkusen a pris un excellent départ depuis la reprise, en battant Mönchengladbach 3-2 et Bochum 2-0. Le jeune Tchèque Adam Hložek (20 ans) a joué un rôle important dans les deux matchs et a marqué un but lors de la victoire contre Bochum.

"Il a fallu un certain temps pour s'adapter, mais maintenant, je me sens chez moi ici et je sais exactement ce qu'on attend de moi", déclare Hložek dans une interview accordée à Flashscore.

Vous avez remporté les deux premiers matchs de Bundesliga depuis la reprise. Êtes-vous satisfait de ce début de seconde partie de saison ?

"Bien sûr, je suis heureux en ce moment. Nous gagnons, je marque et je pense que je joue bien. Donc, je suis positif. Après le premier match, nous nous sommes dit que ce n'était qu'une première étape et que nous devions nous focaliser sur la suivante. Nous avons fait ça, maintenant, nous voulons faire la passe de trois."

Le match de dimanche contre le Borussia Dortmund sera-t-il un véritable test pour savoir où vous en êtes en ce moment ?

"Attention, je pense que Gladbach et Bochum ont tous deux montré une grande qualité. Mais oui, Dortmund sera un énorme test. C'est un adversaire très fort, il y aura une grosse ambiance dans le stade, beaucoup de fans du Borussia viendront. Nous avons hâte d'y être et nous voulons porter notre série de victoires à six."

Avez-vous changé votre style de jeu d'une manière ou d'une autre pour mieux réussir maintenant ?

"Je ne pense pas, je suis plus habitué à mes nouveaux coéquipiers, à un championnat plus difficile, à des exigences plus élevées. Il a fallu un temps d'adaptation, mais maintenant, je me sens chez moi ici et je sais exactement ce que l'on attend de moi. Beaucoup de choses ont également changé avec l'arrivée du nouvel entraîneur, qui a immédiatement expliqué ce qu'il attendait de nous. Nous avons appris à le connaître et maintenant ça paye. Nous sommes heureux de nous appuyer sur les améliorations que nous avons apportées à la fin de l'automne pour commencer cette seconde partie de saison."

Votre entraîneur est Xabi Alonso, un ancien joueur du Real Madrid et de Liverpool. Son expérience parle pour lui ?

"Nous savons tous ce qu'il a fait dans sa carrière, c'est une légende. On sent chez lui qu'il a traversé beaucoup d'épreuves et qu'il se reconnaît (dans ce qu'on traverse, ndlr). Dès le premier instant, il m'a beaucoup parlé, il a essayé de me donner beaucoup de conseils et il a fait en sortie que je me sente vraiment à l'aise sur le terrain. On peut dire qu'une grande personnalité est entrée dans notre vestiaire. Nous en profitons."

Leverkusen s'appuie sur des ailiers rapides et sur le jeu de transition, comment cela vous convient-il ?

"Les transitions offensives sont notre grande arme, les gars des deux côtés du terrain sont vraiment rapides. Et j'aime ce style aussi, je pense que je peux bien les compléter. Cela me convient aussi que nous réagissions souvent sur le terrain à ce que l'adversaire propose. Par exemple, le match contre Gladbach - j'étais censé jouer en neuf pur, mais nous avons rapidement réagi à leur formation et j'ai joué la majeure partie du match sur l'aile. Maintenant, contre Bochum, je jouais déjà en pointe. Je pense que c'est aussi une bonne chose pour moi, que nous puissions changer un peu notre jeu."

Quelle est votre plus grande force aujourd'hui ?

"Lorsque le nouvel entraîneur est arrivé, nous avions un objectif clair : améliorer nos performances défensives. Nous prenions beaucoup de buts et il était clair que nous devions faire quelque chose à ce sujet. Nous y avons déjà travaillé avant les vacances d'hiver et cela continue. Bien sûr, face à Gladbach, nous avons pris deux buts en fin de match, mais heureusement, nous avons aussi pu tirer, donc nous avons eu le ballon et nous sommes allés chercher la victoire."

Est-ce que vous devez défendre plus qu'avant, lorsque vous jouiez au Sparta Prague ?

"Définitivement oui. L'entraîneur n'arrête pas de nous dire que 11 joueurs attaquent et 11 joueurs défendent. Une fois que l'adversaire a le ballon, vous remarquez que nous sommes tous sur le ballon. Il n'y a aucun moyen pour moi, en tant qu'attaquant, de rester là-haut et de regarder les gars défendre. Et quand nous récupérons le ballon, nous pouvons d'être menaçant en transition."

Vous suivez le Sparta Prague ?

"Bien sûr. Je ne pense pas avoir manqué un seul match de la saison en cours. Et j'ai hâte d'être samedi, lorsque les gars reprendront la saison à Olomouc. Je vais sûrement regarder."

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