"Le plan (sur l'ensemble de la série contre la France) était de faire jouer tout le monde" sur le groupe de 33 joueurs "et c'est toujours le cas", a confirmé Robertson ce lundi en conférence de presse.
Il n'avait que très peu changé son équipe entre le premier test, remporté avec peu de marge à Dunedin (31-27) et le deuxième qui a été bien plus facilement dominé (43-17) avec trois changements en tout, dont deux contraints par des blessures.
"Il y a de la concurrence partout, c'est exactement ce qu'on veut : créer de la profondeur, être quatre joueurs pour chaque poste", a-t-il souligné.
Dimanche, l'entraîneur adjoint Jason Holland avait tenu un discours similaire, assurant que "l'état d'esprit général était que tout le monde puisse gouter aux test-matchs". "Il n'y aura pas de manque de motivation et je suis sûr que les gars vont ajouter un truc quand ils en auront l'opportunité", avait-il ajouté.
Lundi, Scott Robertson a notamment pointé la seconde période, où ses joueurs "ont moins bien fini les actions" après une première période à sens unique (29-3).
Côté infirmerie, Robertson est privé notamment de Tupou Vaa'i, qui a subi une commotion lors du deuxième match en plus de Scott Barrett, Caleb Clarke, Tamaiti Williams et Wallace Sititi.
En revanche, il enregistre le retour du troisième ligne Luke Jacobson, du pilier Tyrel Lomax et du centre Anton Lienert-Brown ainsi que de l'ailier Sevu Reece, de nouveau apte après sa commotion lors du premier match.