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David Lappartient savait qu'il n'était "pas favori" pour l'élection au CIO

Gros revers pour David Lappartient.
Gros revers pour David Lappartient.Angelos TZORTZINIS / AFP
Le président du comité olympique français (Cnosf) David Lappartient qui a échoué jeudi à prendre la tête du CIO "savait qu'il n'était pas le favori" mais estime "avoir contribué au débat", a-t-il dit à la presse jeudi après l'annonce de l'élection de la Zimbabwéenne Kirsty Coventry.

"Je me suis présenté à plus d'une vingtaine d'élections, généralement avec succès, mais il faut toujours avoir l'humilité de voir que parfois la marche est beaucoup plus haute", a réagi celui qui est aussi président de l'Union cycliste internationale (UCI).

"Je savais que je n'étais pas le favori, je savais qu'il y avait deux favoris beaucoup plus forts, mais néanmoins je trouvais que j'avais quand même quelque chose à apporter en termes de projet, en termes de dialogue", a-t-il dit.

"J'ai contribué au débat, ce qui était finalement l'objectif", a-t-il dit.

Interrogé sur le fait de savoir si Thomas Bach avait ou non soutenu Kirsty Coventry, David Lappartient a répondu: "C'est le choix des électeurs, il n'a pas pris la main des électeurs, ils ont voté, après qu'il ait eu une préférence, on a tous une préférence dans une élection et on peut quand même pas lui reprocher, et l'élection elle a été claire, donc moi je respecte le résultat et je salue le leadership du Président Bach", a-t-il dit.

"Je ne peux que féliciter Kirsty Coventry pour ce score, on sera derrière elle pour l'aider au sein du mouvement olympique", a-t-il assuré.