Paulius Motejiunas n'a pas exclu l'arrivée des pétrodollars dans la compétition. On spécule depuis un certain temps sur l'arrivée d'une équipe de Dubaï et c'est une idée qui pourrait se développer, mais pas au cours du prochain exercice financier. L'intérêt est logique et l'envie des deux côtés est positive.
"Dubaï est une ville formidable, qui offre des conditions incroyables. Mais la décision est difficile à prendre, car il s'agit d'un autre continent et d'une autre culture. Les négociations sont en cours car la décision n'est pas facile à prendre", a-t-il poursuivi. Il a également émis l'idée que les clubs d'Euroligue pourraient voter sur l'incorporation de la capitale des Émirats arabes.
Il a toutefois émis l'idée que le représentant de Dubaï pourrait débuter en Eurocup. "Ce n'est pas encore le cas, mais nous avançons pas à pas. C'est un défi. Si vous participez à l'Euroligue, c'est comme si vous alliez à 120 km à l'heure. Le risque est là, mais notre proposition commence par quelque chose de plus petit. C'est pourquoi nous envisageons de faire participer l'équipe de Dubaï à l'Eurocup et de lui permettre d'y faire ses preuves".
Incertitude avec la Russie
Motejiunas a admis qu'il ne savait pas ce qui allait se passer avec les équipes russes, actuellement exclues de la compétition en raison de l'invasion de l'Ukraine. "Il n'y a pas de plan précis. Nous voulons voir ce qui va se passer avec les équipes russes, quand elles pourront revenir. Nous ne sommes pas une ligue fermée, l'Eurocup est la deuxième compétition et les grands clubs y participent pour entrer dans l'Euroligue."
