L'Espagnol a été impressionné par les performances de sa voiture lors des trois premières courses de 2023, ses trois premières avec l'équipe britannique, avec laquelle il a déjà obtenu trois podiums. Quelque chose d'inattendu lorsqu'il a signé, mais qui, il l'espère, se poursuivra avec le temps et s'améliorera même au fur et à mesure de la campagne.
Il a déclaré après l'Australie que toutes les équipes de pointe, à l'exception de Red Bull, étaient très proches les unes des autres, et qu'Aston Martin était encore en train d'apprendre à connaître les possibilités offertes par la voiture.
C'est le bon moment, sur un circuit de rue, pour voir comment ils ont utilisé ce temps et aussi pour tester les compétences des pilotes. Pour Fernando Alonso, qui a mis à profit ces trois semaines pour recharger ses batteries, Bakou est un "défi unique." "Nous sommes confrontés à de nombreuses sections serrées et à faible vitesse, puis à des lignes droites à très haute vitesse qui créent de nombreuses opportunités de prendre des risques et d'être récompensés."
La bonne nouvelle, c'est que l'Espagnol a fait preuve d'une adaptation brutale aux conditions dans sa voiture, même s'il prévient qu'il en veut plus. "Nous devons reprendre là où nous nous sommes arrêtés en Australie et maintenir la dynamique de développement pour les prochaines courses", a-t-il déclaré.
"Gardons la tête baissée et continuons à travailler"
Mike Krack, directeur d'Aston Martin, continue de mettre un frein aux espoirs de lutte pour la victoire.
"Je pense qu'il faut être prudent avant de faire de tels pronostics. Les concurrents sont très, très proches, sauf un qui est assez loin. Mais nous devons garder la tête baissée et nous donner à 100 % en permanence pour pouvoir conserver cette position le plus longtemps possible."
