Gareth Bale contre les États-Unis, son nouveau pays d'adoption

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Gareth Bale contre les États-Unis, son nouveau pays d'adoption
Gareth Bale contre les États-Unis, son nouveau pays d'adoption
Gareth Bale contre les États-Unis, son nouveau pays d'adoptionProfimedia
Récent vainqueur de la MLS avec le Los Angeles FC, Gareth Bale, capitaine du pays de Galles qui joue désormais aux États-Unis, est particulièrement craint avant la rencontre entre les deux nations lundi soir (20h).

Star en Europe, Gareth Bale (33 ans) l'est beaucoup moins aux États-Unis. En revanche, il est bien connu de la sélection américaine depuis qu'il a rejoint l'été dernier le Los Angeles FC et la MLS. Il y a deux semaines, l'ancien ailier du Real Madrid a marqué les esprits locaux, en égalisant en prolongation contre Philadelphie (3-3), avant que sa franchise ne remporte le championnat pour la première fois de son histoire aux tirs au but.

"Si on donne à un joueur comme Gareth du temps et de l'espace, il va l'exploiter, comme on l'a vu en finale de la MLS Cup", a prévenu Kellyn Acosta, son coéquipier à L.A.

Les États-Unis réservent donc un traitement de faveur au meilleur buteur de l'histoire des Dragons, a révélé Acosta: "C'est un joueur très dangereux et ce sera leur catalyseur. On doit le malmener un peu sur le terrain. Qu'il nous sente. Laissez-le dans sa zone de confort et il vous fera du mal":

Bale "prêt à jouer"

Après une pige d'un an à Tottenham (2020-2021), club qui l'avait révélé, puis une dernière saison presque sans jouer au Real Madrid, Bale s'est exilé en Californie pour retrouver une bonne condition physique en amont du Mondial, qui pourrait être sa dernière grande compétition internationale.

S'il a peu joué en MLS, le joueur formé à Southampton, dans le sud de l'Angleterre, affirme être "en pleine forme et prêt à jouer". "Si je dois disputer trois fois 90 minutes, je le ferai", a-t-il annoncé avant son départ pour le Qatar.

"Il a joué au plus haut niveau. Il sait ce que ça requiert, rappelle le capitaine de Team USA, Christian Pulisic. Je suis sûr qu'il sera prêt. Qu'il soit à son meilleur niveau n'a pas d'importance."

D'autant que la présence même de l'attaquant au chignon permet d'unir les Gallois, selon le milieu de terrain des Dragons Jonny Williams : "Nous avons vraiment une équipe très soudée. Tout jeune joueur qui intègre l'équipe voit que Gareth n'a pas d'égo, il rigole... et je crois que tout le monde devrait être comme ça."

Lundi, au stade Ahmad Bin Ali, dans l'ouest de Doha, les Gallois débuteront seulement leur deuxième campagne mondiale, après le quart de finale atteint en 1958. "C'est surréaliste de disputer la Coupe du monde, de voir le drapeau gallois entouré des plus grandes nations comme le Brésil et l'Argentine", s'est réjoui Williams.

Mais avant de penser à la Seleçao ou à l'Albiceleste, le Pays de Galles aura sur sa route l'Iran (25 novembre), l'Angleterre (29 novembre), et donc les États-Unis dès lundi.

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